1 étoile Archives - Page 7 sur 10 - Il était une fois le cinéma

The Founder

Une success story bien trop convenue.

Fais de beaux rêves (Fai Bei Sogni)

Un drame aux intentions ostensiblement soulignées.

Le Fils de Jean

Un voyage nourri de trop bonnes intentions.

La Source

Un sujet âpre et délicat qui bénéficie malheureusement d’un traitement sans relief

Nos héros réussiront-ils à retrouver leur ami mystérieusement disparu en Afrique ?

Ce Carnet d’Afrique n´est pas une comédie, c’est un documentaire personnel et intimiste.

Julia

Difficile variation sur le thème du destin, Julia, d’Erick Zoncka, se perd malheureusement dans le désert de son personnage.

Wallabout

Entre underground et film social, « Wallabout » se perd un peu dans les rues de Brooklyn et les états d’âme de son héroïne.

L’Art de la fugue

Enième film sur l’infidélité et les errances du coeur, « L’art de la fugue » ne fait hélas ni rire ni pleurer.

Zouzou

Comédie française qui se croit révolutionnaire mais ne fait qu’enfoncer le clou de la vulgarité.

Les Jours venus

Film roublard sur le petit monde du cinéma et des artistes parisiens.

Au fil d’Ariane

Le nouveau film de Robert Guédiguian avait tout pour être séduisant, à commencer par la mer et le soleil de Marseille. Un je-ne-sais-quoi le rend hélas agaçant.

La Belle vie

Inspiré d’un fait divers, le premier long de Jean Denizot explore l’univers des enfants cherchant à se défaire du pouvoir des adultes. Sans grande surprise.

Players

Sans manquer de sel, il faudrait autre chose à Players » que de la bonne volonté pour démolir la gangrène de l’argent facile. »

Rendez-vous à Kiruna

Après « Les grandes personnes », comédie charmante et peu convenue, Anna Novion engage de nouveau Darroussin dans une aventure qui ne sort pas trop des sentiers battus.

Rio Sex Comedy

Rio est à l’image de la nature qui jamais ne se laissera posséder par la culture.

Avec ce film indé de chez indé, un peu trop violent et foutraque, Evan Glodell en fait trop mais, justement, une fois calmées son ardeur et sa fougue juvénile, c’est sûr qu’il nous surprendra. Un nouveau Tarantino ?

Le roi de l’évasion

La Croisette se comporte souvent comme une vieille dame chochotte et la voici qui glousse devant le dernier film d´Alain Guiraudie, enfilant des titres emballés et allant même jusqu´à parler d´un << souffle d´air pur sur le cinéma français >>…

Persécution

Sur le plan de la persécution que fait naître dans nos coeurs le sentiment amoureux, on ne peut pas dire que le dernier film de Patrice Chéreau soit très convaincant. On hésite entre énervement devant tant d’hystérie injustifiée et suffocation.

Jamais sans toi

Manque au moins un ingrédient pour faire de ce film une oeuvre sulfureuse : un soupçon de sel. Dommage, car le cinéaste tenait là un sujet brûlant…

Cargo

Dédié à tous les marins pris en otage par des pirates des mers, « Cargo » permet toutefois de se faire une idée de la vie sur ces tas de ferraille plus ou moins flottants, la rapacité des armateurs et la corruption de la police.

Les Nuits de Sister Welsh

Avec ses décors soignés de mers déchaînées, de falaises profondes et de ciels en flammes, évoquant « Les Hauts de Hurlevent » et l´imaginaire romantico-gothique anglo-saxon, ce film inclassable, mais pas déplaisant, aura toutefois du mal à trouver son public, sauf ceux qui aiment un cinéma qui dérange.

Chéri

<< Pov´chéri ! >>, serait-on tenté de se dire en sortant de la salle, tellement Stephen Frears semble avoir, une fois n´est pas coutume, raté son coup.

La Frontière de l’aube

Carole est une célébrité qui vit seule, délaissée par un mari parti à Hollywood. François est photographe et doit prendre en photo Carole. Très rapidement, les deux deviennent amants

Crimes à Oxford (Oxford Murders)

Mais qu´attendre du réalisateur qui commit il y a peu le triste Crime farpait, pastiche frêle du déjà faisandé Almodovar, signe que le cinéma espagnol n´est pas en meilleure forme que le français ?

My Soul to Take

Avec « My Soul to Take », Wes Craven assure habilement le service minimum.

Kyss Mig – Une histoire suédoise

Lisse comédie dramatique sentimentale, suédoise et lesbienne.

American Translation

Avec « American Translation », Pascal Arnold et Jean-Marc Barr signent un polar français à l´Américaine, plat et peu crédible.

Burlesque

Pur produit publicitaire destiné à vanter les capacités vocales de Christina Aguilera, Burlesque s’improvise en Coyote Girls des années 2010, n’inventant rien, déroulant platement un « scénario » couru d’avance. Ni plus ni moins honteux que les autres films du genre cependant.

Au-delà

Après « Invictus », Clint Eastwood interroge l’au-delà dans un film où presque rien ne va.

Sex Friends

Réflexion autour du concept des amis « et plus si affinités », voici Sex friends : fausse comédie sexuelle mais vraie sitcom chaste qui semble croire que le mieux, c’est d’en parler.

Toute l’histoire de mes échecs sexuels

Un trentenaire, habitué des relations foireuses et souffrant d´une fâcheuse tendance à se faire larguer, part à la rencontre de ses ex, caméra au poing. Et dresse dans ce documentaire un inventaire bancal des raisons pour lesquelles l´amour ne lui réussit pas.

Brothers

Remake inutile du très beau film de Susanne Bier, « Brothers » n’appuie jamais là où ca fait mal, se contentant de délivrer un message anti-guerre sommaire au fil d’un long métrage à l’encéphalogramme plat, vitrine de luxe chic et toc à trois (bons) acteurs en sous-régime permanent.

Un ange à la mer

Documentariste passé à la fiction, le réalisateur belge Frederic Dumont filme deux comédiens aguerris et un jeune acteur prometteur dans un film trop maladroit pour être attachant.

Nahid

Un film engagé et attrayant, miné par un scénario trop démonstratif.

Remember

Un film sur la mémoire, à oublier.

La Saison des femmes

Charge virulente contre le patriarcat dans l´Inde rurale, colorée mais sans nuances.

Eddie The Eagle

Beaucoup d´élans mais guère d´allant dans ce feel good movie peu inspiré.

Che – 1ère partie : L´Argentin

Premier biopic du cru 2009, le tant attendu << Che, l´Argentin >> filmé par Soderbergh ne parvient finalement pas à faire résonner la personnalité de Guevara ; ne tranchant ni pour la véracité historique, ni pour l´intensité dramatique, il permet simplement un détour par la jungle, dépaysant mais long, aux côtés d´un Benicio del Toro présent comme il faut.

Note : 1 étoile