COIN DU CINÉPHILE
COIN DU CINÉPHILE

Luigi Comencini
Le coin du cinéphile se penche sur Luigi Comencini, critique amusé et désabusé des travers des adultes, tout comme peintre attendri des meurtrissures de l’enfance.

Hommage à Bertrand Tavernier
Bertrand Tavernier vient de nous quitter. Retour, en forme d’hommage, sur l’œuvre d’une des plus passionnées et passionnantes figures du cinéma français.

New-York, une ville de cinéma
New-York est une des villes les plus observées et fantasmées de l’Histoire du cinéma. Son emplacement géographique en fait une des métropoles les plus cosmopolites du monde, dont l’imagerie représente à elle seule l’incarnation du rêve américain. L’image de la Statue...

Peter Bogdanovich
Le Coin du cinéphile se penche sur le plus nostalgique des ténors du Nouvel Hollywood.

Philippe de Broca
A l’occasion de la sortie du livre « Philippe de Broca, un monsieur de comédie » ce Coin du cinéma est consacré à l’un des plus virevoltants cinéastes français.
Luigi Comencini
Le coin du cinéphile se penche sur Luigi Comencini, critique amusé et désabusé des travers des adultes, tout comme peintre attendri des meurtrissures de l’enfance.
Hommage à Bertrand Tavernier
Bertrand Tavernier vient de nous quitter. Retour, en forme d’hommage, sur l’œuvre d’une des plus passionnées et passionnantes figures du cinéma français.
New-York, une ville de cinéma
New-York est une des villes les plus observées et fantasmées de l’Histoire du cinéma. Son emplacement géographique en fait une des métropoles les plus cosmopolites du monde, dont l’imagerie représente à elle seule l’incarnation du rêve américain. L’image de la Statue...
Peter Bogdanovich
Le Coin du cinéphile se penche sur le plus nostalgique des ténors du Nouvel Hollywood.
Philippe de Broca
A l’occasion de la sortie du livre « Philippe de Broca, un monsieur de comédie » ce Coin du cinéma est consacré à l’un des plus virevoltants cinéastes français.
CHRONIQUES
CHRONIQUES

Le Grande embouteillage
Luigi Comencini exacerbe une situation ordinaire pour illustrer toute la face sombre de la nature humaine.

La Grande Pagaille
Luigi Comencini pose un regard picaresque, poignant et lucide sur une débâcle de l’histoire italienne.

Qui a tué le chat?
Après “l’argent de la vieille”(1972) et avant “le grand embouteillage”(1979), Luigi Comencini se commet dans une satire implacable qui vise à débrouiller l’écheveau des travers de la société de son temps. Sous le vernis de la farce à l’absurde déjanté s’écaille une vision lucide et décomplexée. Décapant.

Casanova, un adolescent à Venise
“Casanova, un adolescent à Venise” dépeint une tranche de la vie picaresque de l’auteur-mémorialiste libertin de “Histoire d’une vie”, Giacomo Casanova. Cinéaste de “l’innocence perdue”, Comencini s’inspire des tableaux de genre du peintre vénitien Pietro Longhi pour leur insuffler le mouvement comme autant de saynètes croquant les moeurs dissolues de l’aristocratie de la république vénitienne au siècle des lumières le tout somptueusement enchâssé sur la toile de fond en trompe-l’œil de la lagune.

Où est la liberté?
Tamasa distribue en digipack blu-ray/dvd la seule comédie néo-réaliste italienne signée Rossellini sortie en France en 1961 et peu vue depuis : “Où est la liberté ?”. Une curiosité au burlesque tragi-comique…

Le New York de Woody Allen
Retour sur l’oeuvre de Woody Allen, dans laquelle la ville de New York tient une place centrale.

La Cité sans voiles
Prototype matriciel du «noir procédural», «La cité sans voiles» fraye la voie vers un courant néo-réaliste semi-documentaire issu de l’immédiat après-guerre. Drapée sous une chape nocturne, la métropole new-yorkaise bruisse de mille faits divers crapuleux. Le jour venu, à l’été 1947, la brigade des homicides dont le bureau est la rue, bat le pavé brûlant des artères populeuses pour les élucider.

Le temps de l’innocence
Plongée dans la haute société new-yorkaise du roman d’Edith Wharton.

Taxi Driver
Ou comment, en voulant nettoyer « l’égout à ciel ouvert » qu’est New York, on passe du super-héros au fasciste.

Fievel et le nouveau monde
Les (més)aventures des immigrants américains à hauteur d’un souriceau candide.

Réédition en DVD/ Blu-Ray de « Peggy Sue s’est Mariée » et « Jardins de pierre »
Très dissociables par leur enveloppe : comédie-dramatique de remariage pour « Peggy Sue s’est mariée », drame de guerre pour « Jardins de Pierre », ces deux oeuvres de Francis Ford Coppola de la fin des années quatre-vingt se rejoignent intimement.

« Vingt-cinq photographies de Chris Marker » de Jacques Sicard
A travers les mots de Jacques Sicard, retour sur « Si j’avais quatre dromadaires » de Chris Marker.
Le Grande embouteillage
Luigi Comencini exacerbe une situation ordinaire pour illustrer toute la face sombre de la nature humaine.
La Grande Pagaille
Luigi Comencini pose un regard picaresque, poignant et lucide sur une débâcle de l’histoire italienne.
Qui a tué le chat?
Après “l’argent de la vieille”(1972) et avant “le grand embouteillage”(1979), Luigi Comencini se commet dans une satire implacable qui vise à débrouiller l’écheveau des travers de la société de son temps. Sous le vernis de la farce à l’absurde déjanté s’écaille une vision lucide et décomplexée. Décapant.
Casanova, un adolescent à Venise
“Casanova, un adolescent à Venise” dépeint une tranche de la vie picaresque de l’auteur-mémorialiste libertin de “Histoire d’une vie”, Giacomo Casanova. Cinéaste de “l’innocence perdue”, Comencini s’inspire des tableaux de genre du peintre vénitien Pietro Longhi pour leur insuffler le mouvement comme autant de saynètes croquant les moeurs dissolues de l’aristocratie de la république vénitienne au siècle des lumières le tout somptueusement enchâssé sur la toile de fond en trompe-l’œil de la lagune.
Où est la liberté?
Tamasa distribue en digipack blu-ray/dvd la seule comédie néo-réaliste italienne signée Rossellini sortie en France en 1961 et peu vue depuis : “Où est la liberté ?”. Une curiosité au burlesque tragi-comique…
Le New York de Woody Allen
Retour sur l’oeuvre de Woody Allen, dans laquelle la ville de New York tient une place centrale.
La Cité sans voiles
Prototype matriciel du «noir procédural», «La cité sans voiles» fraye la voie vers un courant néo-réaliste semi-documentaire issu de l’immédiat après-guerre. Drapée sous une chape nocturne, la métropole new-yorkaise bruisse de mille faits divers crapuleux. Le jour venu, à l’été 1947, la brigade des homicides dont le bureau est la rue, bat le pavé brûlant des artères populeuses pour les élucider.
Le temps de l’innocence
Plongée dans la haute société new-yorkaise du roman d’Edith Wharton.
Taxi Driver
Ou comment, en voulant nettoyer « l’égout à ciel ouvert » qu’est New York, on passe du super-héros au fasciste.
Fievel et le nouveau monde
Les (més)aventures des immigrants américains à hauteur d’un souriceau candide.
Réédition en DVD/ Blu-Ray de « Peggy Sue s’est Mariée » et « Jardins de pierre »
Très dissociables par leur enveloppe : comédie-dramatique de remariage pour « Peggy Sue s’est mariée », drame de guerre pour « Jardins de Pierre », ces deux oeuvres de Francis Ford Coppola de la fin des années quatre-vingt se rejoignent intimement.
« Vingt-cinq photographies de Chris Marker » de Jacques Sicard
A travers les mots de Jacques Sicard, retour sur « Si j’avais quatre dromadaires » de Chris Marker.