4 étoiles Archives - Page 21 sur 23 - Il était une fois le cinéma

L’Homme du peuple

<< Mais les chantiers, c'est là que bat le coeur de la Pologne ! >> *

Orange mécanique (A Clockwork Orange)

Voici sûrement l’une des valeurs sûres du cinéma contemporain. Adapté d’un roman déjà controversé...

Jarhead, la fin de l’innocence

Sam Mendes signe avec Jarhead un brillant retour. Il faut dire qu’avec American Beauty, ce petit génie frappait un grand coup dans le paysage cinématographique américain, laissant présager une carrière exceptionnelle....

La Terre outragée

Quand le nuage de Tchernobyl traverse enfin nos frontières.

Les Enfants de Belle Ville

Quand le coeur a ses raisons que la raison écoeure.

Cabeza de Vaca

Il aura fallu vingt ans à « Cabeza de Vaca » pour parvenir jusque chez nous. On peut saluer l’initiative de Ed Distribution, qui tire le film de Nicolas Echevarria de l’inconnu.

Rubber

Avec son pneu tueur, « Rubber » va avoir droit à toute une panoplie de jeux de mots plus ou moins judicieux. Déjanté, gonflé, en roue libre et on en passe. Mais le film de Quentin Dupieux est avant tout une petite bombe d’absurde. Théorique et pratique.

Broken flowers

Broken Flowers ou le vertige du temps retrouvé Les premiers plans sont éloquents. Ils montrent un visage de l´Occident en trois dimensions : le survêtement, le canapé, le téléviseur. En ce sens, Broken Flowers n´illustre pas...

Bubble

Bubble est un long-métrage de 73 minutes seulement. Durée peu commune mais suffisante pour...

Mort à Venise (Morte a Venezia)

La décadence de la haute société est un leitmotiv dans la filmographie de Luchino Visconti. Dans...

Le Labyrinthe de Pan

Une œuvre fantastique majeure.

Dan et Aaron

Entre humanisme et politique, Igaal Niddam signe un film sensible ouvert à tous public.

Amorosa Soledad

Amorosa Soledad : << charmante solitude >> ou << adorable Soledad >>, du prénom du personnage principal. Chacun choisira, ou préfèrera ne pas choisir. Car Inès Efron est tout à la fois charmante et adorable, dans ce rôle fragile, doux et attachant.

Un millier d’années de bonnes prières (A Thousand Years of Good Prayers)

Le voyage du foulard rouge…

Duel dans le Pacifique

En 1944, le capitaine Kuroda (Tochiro Mifune), un officier de la Marine japonaise, et un pilote de...

United States of Love

Le portrait de quatre fleurs condamnées à l’hibernation.

Jeune femme

La poétique du hors-champ, ou l´étreinte impossible entre sujet et caméra.

Violent days

Pour son premier long-métrage, Lucille Chaufour nous propose une incursion des moins banales et des plus ambitieuse.

Crazy night

En dépit de sa petite morale parasite, voire pénible (la famille, c’est trop top), « Crazy night » dispose d’un atout imparable : l’alchimie comique du tandem Tina Fey-Steve Carell. Irrésistible de burlesque et de drôlerie.

Tournée

Foutraque, cette « Tournée » ? Plutôt nerveuse, lacunaire et terriblement attachante ! Oscillant entre résistance et abandon, elle offre à voir une beauté hors codes. Et revendiquée comme telle. Salutaire, en tout cas.

Tamara Drewe

Une adaptation du savoureux roman graphique de Posy Simmonds hilarante à souhait et très stylée. Entre vaudeville et non sens, le cinéaste britannique se joue, finement, de notre obsession des apparences…

The Housemaid

Bien mieux qu’un remake, « The Housemaid » donne l’occasion à l’acerbe Im Sang-soo de compléter idéalement sa filmographie. Une oeuvre glaçante et belle, impeccable de suspens, interrogeant opportunément une société basée sur le paraître, le pouvoir et la soumission.

Complices

Ce premier long métrage évite (presque) tous les pièges du polar français. Une construction originale, des acteurs denses, nul jugement in fine : pas si mal !

A Serious Man

A la fois plus touchant et plus grinçant que les précédents, « A Serious Man », en forme de chronique autobiographique, est l’un des plus personnels des frères Coen.

Le Refuge

François Ozon signe ici un beau film sec – finalement bouleversant – non seulement sur la maternité et la transmission, mais aussi sur le manque. Thème forcément personnel à force d’être récurrent.

Mother

Moins spectaculaire que « The host », mais centré sur une relation mère/fils hors norme, « Mother » n’est pas un film raisonnable. A tout point vue. Une réussite, donc…

Sherlock Holmes

Malin … A la fois tape à l’oeil à l’américaine, et drôle comme savent l’être les comédies anglaises. Un vrai divertissement, porté par l’excellent Robert Downey Jr.

The Ghost Writer

Un thriller tout en tension, plus personnel qu’il n’y paraît de prime abord. Roman Polanski manie aussi bien l’élégance que l’ironie. Ours d’argent au Festival de Berlin 2010.

La Révélation

Excellente surprise que ce thriller politique allemand, qui noue son intrigue, ses doutes et ses questions dans les labyrinthes du Tribunal pénal international de La Haye. Captivant.

Les Invités de mon père

Optant cette fois pour la comédie, railleuse quoique affectueuse, Anne Le Ny s´affirme et confirme son élégance. Sur un thème dérangeant, son ton, son rythme et « ses » comédiens sont épatants.

Les Femmes de mes amis

Triviale, bancale, cette nouvelle chronique du cinéaste coréen, apparemment égocentrique, témoigne en fait d’une force burlesque réjouissante ! Boire et déboires, aux confins de l’ironie et de l’absurde.

Dans ses yeux

Méfions nous des apparences, semble dire ce film argentin aux allures hollywoodiennes (Oscar à la clé). En dépit d’une réalisation classique et d’un « happy end » convenu, la force de son histoire et la richesse de ses personnages laissent sans voix !

Soeur Sourire

Biopic belge, de facture justement modeste, sur la fameuse << nonne chantante >> des années 60. Cécile de France, physiquement très engagée, évite le piège de la performance mimétique. Elle est, à l´image de son personnage, intègre, têtue, bouleversante.

Note : 4 étoiles