SORTIES
SORTIES
Limonov, la ballade
Anatomie perverse du Céline russe.
Un village en résistance
Un maquis solidaire.
Cent Mille Millards
Apprivoiser l’apocalypse
Les Reines du drame
Sous les signes de Bertrand Mandico et de Fatal Bazooka.
La Bella estate
Emancipation
En fanfare
Sans conteste, l’un des plus beaux films français de cette fin d’année…
Limonov, la ballade
Anatomie perverse du Céline russe.
Un village en résistance
Un maquis solidaire.
Cent Mille Millards
Apprivoiser l’apocalypse
Les Reines du drame
Sous les signes de Bertrand Mandico et de Fatal Bazooka.
La Bella estate
Emancipation
En fanfare
Sans conteste, l’un des plus beaux films français de cette fin d’année…
COIN DU CINÉPHILE
COIN DU CINÉPHILE
Le cinéma allemand contemporain
Le cinéma allemand contemporain n’a pas forcément bonne presse : outre le manque d’intérêt d’une critique cinématographique française peu tournée vers ce qui se passe outre-Rhin vient s’ajouter un a priori sur la supposée lourdeur des productions germaniques. Ce texte voudrait montrer au contraire l’intérêt qu’il y a à revoir – ou plutôt voir – certaines réalisations allemandes récentes : celles d’un cinéma qui ne se limite pas aux opus de Fatih Akin (Head-on, De l’autre côté), de Christian Petzold (Barbara, Phoenix, Ondine) ou aux performances multi-primées de Sandra Hüller (Toni Erdmann, Anatomie d’une chute, La Zone d’intérêt) ; celles qui ne se contentent pas de ressasser « un passé qui ne passe pas » (selon la formule à propos de Vichy d’Henry Rousso et Éric Conan) : l’accablant passé du nazisme et du IIIe Reich ou celui de la Stasi et de l’ex-RDA.
On évoquera ici quatre films : Oh Boy de Jan-Ole Gerster (2012) ; Je suis ton homme (Ich bin dein Mensch) de Maria Schrader (2021) ; La Salle des professeurs (Das Lehrerzimmer) d’Ilker Çatak (2023) ; La Belle Affaire (Zwei zu eins) de Natja Brunckhorst (2024).
Précédentes Thémas
Abel Gance ou l’exacerbation des passions sur l’écran “large” du cinématographe
C’est en étroite coordination avec le CNC, le centre national du cinéma et de l’image animée, que la Cinémathèque Française a pu concevoir, réaliser et recréer en septembre dernier les conditions d’une rétrospective foisonnante dédiée à l’oeuvre superlative, tant grandiose, monumentale, majestueuse que solennelle et grave d’Abel Gance. Temps forts.
Valerio Zurlini, un esthète intransigeant pétri de culture et de sentiments
Recension critique écrite par Alain-Michel Jourdat
Michelangelo Antonioni
A l’aune de la récente rétrospective Michelangelo Antonioni à la cinémathèque française, il nous a été permis de revoir la quasi intégralité de l’œuvre filmique du cinéaste de l’aliénation et de la névrose qui s’affranchit du néo-réalisme avant ses oeuvres de la maturité. Panorama et recension critique d’Alain-Michel Jourdat.
Cycle Roberto Rossellini
Entre néoréalisme, prémices du cinéma moderne et didactisme télévisuel.
Rétrospective Ozu
Humanisme profond des gens ordinaires et déstabilisation du vieux monde avec Yasujiro Ozu.
Universal Monsters
Un panorama de quelques passionnants films mettant en scène les « Universal Monsters », à l’occasion de l’édition de la « Collection Cinéma Monster Club » chez Elephant Films.