« Vingt-cinq photographies de Chris Marker » de Jacques Sicard
A travers les mots de Jacques Sicard, retour sur « Si j’avais quatre dromadaires » de Chris Marker.
A travers les mots de Jacques Sicard, retour sur « Si j’avais quatre dromadaires » de Chris Marker.
Deux livres sont sortis ces jours-ci qui mettent en avant encore une fois le cinéma grâce au travail précis et méthodique des éditions Les Impressions nouvelles de Belgique.
Les échappées belles du grand Lavant.
La maison d’édition Rouge Profond publie un premier ouvrage français consacré entièrement à l’oeuvre de Kathryn Bigelow.
Pour notre plus grand plaisir, Jean-Max Méjean nous invite à redécouvrir l’un des plus grands succès du cinéma français.
Comment enseigner ce qui ne s’enseigne pas ?
« Duel au soleil » comme vous ne l’avez jamais vu !
À travers la courte histoire de la Triangle, Marc Vernet revient sur la naissance des studios hollywoodiens.
Non seulement le roman complète le film, mais il vaut œuvre en soi.
Petit essai d’une belle et précise réflexion, consacré au motif des Cafés dans le cinéma.
À l’heure où les historiens du cinéma ressassent des thèmes mille fois entendus, Philippe Lemieux nous transmet sa passion pour l’Histoire du cinéma numérique.
Mes enfants, le cinéma muet, ce n’est pas de la préhistoire, c’est dans l’air du temps.
de Aurélie Coffineau, Virginie Coffineau, Olivier Saint-Vincent et Raphaël Saint-Vincent
Ed Wood, gourou des mal-aimés ?
Un ouvrage un peu décevant à partir d’un sujet pourtant captivant.
Quand l’écran de cinéma nous confronte à nos peurs.
Jean Tulard a le plaisir de vous présenter Stan Laurel et Oliver Hardy, deux comiques au fort potentiel.
Du prix du ticket à l’abonnement VOD : l’economie du cinéma sous toutes ses formes, à la lumière du livre de Laurent Creton.
Publié à l’occasion de la rétrospective intégrale des films de Sharunas Bartas au Centre Pompidou, cet ouvrage vient combler un vide bibliographique sur l´oeuvre du cinéaste lituanien et, de petite facture, invite à aller plus loin.
Les éditions Capricci, spécialisées dans les ouvrages de cinéma, nous gratifient d’un entretien exclusif avec le géant hollandais Paul Verhoeven.
Le numérique comme créateur de réel et d’illusion : retour avec Guillaume Orignac sur la filmographie de David Fincher.
Et si derrière tous les beaux discours Eric Rohmer était le cinéaste du corps?
Seize cinéastes, un public, des débats : voilà la formule gagnante de ce nouvel ouvrage sur un genre entouré de mystères, le documentaire.
La fin du monde, oui !
Une étude passionnante et détaillée d´un cinéaste précieux et trop oublié.
Les Éditions L´Harmattan s´intéressent au droit public au sein du cinéma. Une manière d´initier le lecteur cinéphile à des questions juridiques et artistiques trop peu évoquées.
Après les épopées du Nouvel Hollywood et du cinéma indépendant américain, Biskind se penche sur son parcours personnel et celui de la critique américaine.
Un très bon ouvrage qui se penche méticuleusement sur la toujours difficile question de l´adaptation.
Par le biais de l’ouvrage d’Edouard Loeb, retour sur le film de Rachid Bouchareb et sa réception par la presse.
Une enquête minutieuse et cinglante sur le règne de Michael Eisner à la tête de Disney.
Un petit ouvrage synthétique idéal pour une introduction au cinéma de Jacques Tati, et dont l’annexe, fruit d’un travail de passionné, illustre la perfection selon Tati.
Premier opus d’une nouvelle collection des éditions Capricci, ce parcours à la fois passionné et théorique de l’une des séries les plus importantes de ces dernières années concerne bien le cinéma, voire plus encore.
L’adaptation illustrée du film entre les mains, retour sur le dernier film d’animation des studios Ghibli, Arrietty, le petit monde des chapardeurs.
De l´humour, des secrets de tournage, de l´enquête, Mathieu Sapin nous embarque dans les coulisses du film « Gainsbourg, vie héroïque ». Pour la première fois, un dessinateur de bande dessinée s´infiltre dans l´univers du cinéma, et ce, sans nous déplaire…
Véritable traversée de l´oeuvre du beau génie hollywoodien, ce livre est surtout une vertigineuse profession de foi critique. Un authentique évènement de cette rentrée ciné.
Co-édition par Capricci et Les Prairies ordinaires d’un ouvrage collectif consacré à la plus incontournable série de tous les temps : « The Wire ».
Plus de trente ans après sa disparition, ce livre-CD redonne parole et histoire à l’une des figures les plus mystérieuses et éloquentes de la critique française.
Recueil de ses plus fameux articles de « Libé » consacrés aux séries et à la télé en général, « Sur la télévision » est surtout l’occasion pour chaque lecteur, selon son âge, de régler ses comptes avec ses propres images originelles. Un livre indispensable, vivifiant et désarmant.
Un regard inédit sur l´oeuvre du vieux maître yankee, intellectuellement bandant, mais aussi très énervant. A lire !
Nouveau scénario de film non réalisé s’imposant comme chef-d´oeuvre à part entière.
Une biographie exhaustive mais surtout à la hauteur de son sujet : l’un des artistes les plus polyvalents jamais offerts à Hollywood.
Sortie du deuxième opus d’une entreprise cinématographique et littéraire audacieuse et toujours stimulante. Un régal !
Premier livre d’entretien consacré au nouveau « king » de la comédie US, « Comédie, mode d’emploi » d’Emmanuel Burdeau offre une précieuse occasion de mesurer l’art d’Apatow à la hauteur de l’homme, son parcours, ses multiples angoisses. Not so funny, Judd ?
Sortie chez Capricci d’une oeuvre unique de James Agee : le scénario d’un film qu’aurait pu réaliser Charlie Chaplin, son idole.
Deuxième opus de la collection « Actualité critique » de Capricci, le livre-hommage de Philippe Azoury au grand cinéaste disparu cette année est au moins à la hauteur de son magnifique titre.
Plus qu’une interview classique, ce petit livre propose de suivre le fil discret d’une mutuelle reconnaissance artistique entre un cinéaste fan et une actrice admirée.
La collection « Actualité Critique » des éditions Capricci trace sa route. Troisième volet : « Génie de Pixar » de Hervé Aubron, plongée exigeante et enrichissante dans les origines de ce qui est devenu avec les studios Ghibli le terrain le plus ambitieux et cohérent de l’animation contemporaine.
Premier livre – multilingue – consacré en France à un cinéaste mythique au parcours singulièrement instable.
Un livre d’une rare densité conceptuelle interrogeant le cinéma à la lumière de nos sociétés postmodernes… au risque parfois de la perte de vue.
Par ce livre, l’historien et critique Antoine de Baecque revient, s’appuyant sur des textes et entretiens ayant marqué sa collaboration aux Cahiers du cinéma et à Libération, sur une belle idée fixe ayant toujours accompagné son écriture : comment « délocaliser » le cinéma ?