The Lost King
Le cinéma regorge de chefs d’œuvre sur des personnages obsessifs qui ne reculent devant rien pour arracher la vérité à un système. Pourquoi THE LOST KING n’en est-il pas un ?
Le cinéma regorge de chefs d’œuvre sur des personnages obsessifs qui ne reculent devant rien pour arracher la vérité à un système. Pourquoi THE LOST KING n’en est-il pas un ?
Prendre le contrepied du Voyage en Italie de Rossellini.
Un documentaire indispensable pour les droits de l’Homme et l’abolition de la peine de mort en Iran.
Une invitation au rêve et au voyage dans la droite ligne de Murakami.
Le dernier film de Cheyenne-Marie Carron interroge encore la foi.
Le bar comme lieu poétique de coeurs qui se soutiennent, avant disparition…
Le parcours existentiel et spirituel d’un aumônier militaire de notre temps.
Une belle prise.
Trois films coups de poing, coups de coeur
Prendre des photos dans les camps nazis pour prouver et durer.
Passionnée par ses héroïnes résilientes, Mounia Meddour suggère par synecdoque que l’Algérie ne pourra jamais être vraiment brisée.
Peu accommodant pour le spectateur non-cinéphile, on pourrait dire d’Italia, le feu, la cendre, qu’il prêche des convertis. Reste que ce prêche est plein de panache savant.
Ces rééditions nous permettent de (re)découvrir deux œuvres de pur bonheur.
Le déni de grossesse pour les Nuls !
Une radio pour la paix et l’entente dans un Moyen-Orient dévasté par Daesh.
À l’instar de son impressionnant déchiqueteur aquatique, ce diptyque ne fait pas dans la dentelle ; réjouissant et saignant !
Entre arnaques et magie, le quartier devient bijou…
Tu gagneras ton or à la sueur de ton front.
L’homme qui aimait le cinéma
Rapports de domination entre deux êtres qui croient s’aimer.
Garde bien la dernière « dance » pour moi !
C’est la tactique du gendarme… de Saint-Tropez et du ciné…
Dans le cargo personne ne vous entend hurler.
Le drame des marchands de sommeil dans une banlieue bien trop stéréotypée
Delon, le « Samouraï » en Italie.
Montrer ou démontrer. Homosexualité, religion, naissance du mal… La très grande ambition du dernier film de Nabil Ben Yadir interroge la fonction toute entière du cinéma.
Le combat d’un vieil homme pour garder sa terre, sa dignité et ses fantômes.
Un conte psychologique et une rêverie sur le cinéma.
Film politico-écolo qui tente maladroitement de faire réfléchir sur notre monde…
Ce clair-obscur objet du désir.
Road movie sous les bombes entre Israël et Liban.
Interview de Nathalie PAJOT, Directrice Marketing France d’Unibail-Rodamco-Westfiel. Elle nous présente la deuxième édition du Festival de courts-métrages Westfield Stories auquel est associé Kourtrajmé, le collectif de jeunes cinéastes crée par Ladj Ly.
Pétri de bien-pensance, ce film rate sa cible.
Quitter son pays, essuyer les coups, traverser la mer… Mais si le pire était à venir ? Survivre n’est pas un tout. Cécile Allegra propose à de jeunes exilés de penser l’après, par l’art-thérapie. Le chant des vivants est une douloureuse mélodie de laquelle advient une merveille cinématographique.
Adieu à l’insouciance, adieu à l’enfance.
La revanche du monteur.
Lili qui a tout quitté pour devenir pêcheur en mer du nord se confronte à la rudesse de cet univers. Un premier film qui séduit par sa modestie et son tendre naturalisme.
Art the Clown revient et ça va saigner…
Le cinéma d’Abdellatif Kechiche sous toutes ses coutures : chronique d’un ouvrage collectif dirigé par Jean-Max Méjean, assisté de Hugo Dervisoglou, avec entre autres la contribution de Jean-Michel Pignol (par ailleurs collaborateurs de « Il était une fois le cinéma »)
Cette année 2022 aura initié à défaut d’accompli un retour à la normale quant à la fréquentation des salles obscures. Bonne nouvelle néanmoins : la diversité et la qualité des films diffusés sont au rendez-vous, certes pas dans tous les cas, mais suffisamment pour appréhender avec optimisme l’année 2023.
Une rivière sale entre la vie et la mort.
Faut-il séparer l’artiste de son œuvre ? Michel Placido ne se pose pas la question dans son dernier long métrage, Caravage. Il répond que non, au moyen d’un grand ballet esthétique.
Pour la sortie de « La passagère », rencontre avec la réalisatrice et les deux acteurs principaux.
Sur un canevas aussi ténu que périlleux ; le premier long métrage d’ Héloïse Pelloquet embrase les cœurs et les corps.
Un paysage psychologique et initiatique.
L’œuvre première manière de René Clair a l’élégance de glisser sa force dans les replis de dentelle de la comédie légère. Oeuvre fondatrice du cinéma français sonore et à l’orée du parlant, elle est pionnière avec toutes les perfectibilités que cela suppose. Retour sur 4 films majeurs pétillants de nostalgie en versions restaurées 4K.
Un coffret de 6 DVD/BLU RAY rend hommage à un maestro incontesté du cinéma d’horreur.
Non, la poésie ne meurt pas, écrasée par les robots…
Un massacre bien ficelé.
Suivre un pape voyageur, humble et modeste, dans sa mission de paix.