3 étoiles Archives - Page 4 sur 26 - Il était une fois le cinéma

Garçon chiffon

Une entrée dans la cour des grands pour Nicolas Maury, à la fois scénariste, réalisateur et tête d’affiche de ce film prometteur

We are soldiers

Une femme filme trois soldats blessés et c’est magnifique.

Le soleil reviendra

Pour son onzième film, Cheyenne-Marie Carron revient en force et en beauté.

Antigone

Adaptation fidèle du thème d’Antigone au Québec de nos jours. Une belle performance d’actrice.

Tenet

Point de départ ou point terminal du cinéma nolanien ? Les deux peut-être.

Effacer l’historique.

Pour leur dixième collaboration, le tandem Delépine-Kerven surfe, avec un certain bonheur, sur l’absurdité de notre société hyperconnectée.

Né à Jérusalem (et toujours vivant)

Prétexte à découvrir l’Histoire récente de Jésusalem, ce film tendre et drôle devient une jolie histoire d’amour.

La nuit venue

Un Paris nocturne et bleuâtre pour une histoire d’amour et de triade.

LE SEL DES LARMES

Philippe Garrel poursuit avec sobriété et élégance sa patiente observation des corps amoureux

Brooklyn Secret

Un film sur les immigrées transgenres philippines dans un New York mélancolique à la Woody Allen.

Le colocataire

Le thème de la colocation très à la mode devient ici le moyen de faire se rencontrer deux hommes que tout oppose.

L’amour à la ville

Comment un film didactique devient leçon de cinéma.

Il était une fois dans l’est

Dépaysant, sincère, Il était une fois dans l’est est une charmante balade entre documentaire et drame léger, une histoire ordinaire qui arrive dans un village ordinaire de la Russie actuelle.

The Room

Une métaphore sur notre capitalisme dévorant à déguster en période de pandémie confinée.

Playing men

Un documentaire poétique sur la piste des jeux d’hommes en Méditerranée. En VOD.

La Bonne épouse

Une comédie aigre-douce sur l’éternelle condition féminine.

Communion

Ce film polonais réussit l’exploit de nous tenir en haleine comme dans un polar et à nous entraîner dans les méandres de la foi et du pardon.

Mes jours de gloire

Comment raconter l’adulescence et la difficulté de devenir adulte.

L’Etat sauvage

Un film français qui s’attaque au monde du western, avec des acteurs français, c’est surprenant et captivant.

Le Fils d’un roi

Cheyenne-Marie Carron continue son combat contre la pensée unique et elle tape encore dans le mille.

Lara Jenkins

Elle voulait jouer du piano debout.

Le Cas Richard Jewell

Quand Mindhunter vantait les vertus du profilage, Eastwood révèle comment le FBI en use pour fabriquer le suspect idéal.

Tu mourras à 20 ans

Un premier film qui manque de rythme mais se distingue par son traitement de l’image et son propos.

Adam

Un film de femmes qui parle au coeur de l’humanité.

Slacker

Bienvenue dans le Austin des années 1990.

Le photographe

Ritesh Bafa nous livre ici un quatrième long métrage dans la lignée de sa production indienne précédente sans se répéter pour autant.

Nina Wu

Après le « tsunami » de MeToo, Midi Z réalise un beau film qui, paradoxalement, ne donne pas en-vie de faire du cinéma.

Après la nuit

Un nouveau film sur le couple, mais avec le regard d’un jeune Roumain très inspiré par la Nouvelle Vague roumaine.

Cunningham

Filmer la danse avec efficacité et esthétique, c’est une gageure réussie ici grâce aux cou-leurs et à la 3D.

Emma Peeters

Un film comique et tendre sur un sujet tabou, la mort.

Jeune Juliette

« Jeune Juliette » n’est pas un énième teen movie, mais une tendre comédie sur l’amour.

Cocaïne Prison

En Bolivie, Hernán est incarcéré pour trafic de drogue, sa sœur va tenter d’ obtenir sa libération : Un documentaire saisissant.

Last Christmas

Film convivial porté par un duo d’actrices fort, « Last Christmas » oscille entre esprit de Noël guilleret et situations dramatiques poignantes.

Knives and skin

Film ovni, « Knives and Skin » est un voyage initiatique aux frontières du surréalisme.

Pour ses retrouvailles avec Ramzy Bedia, Rabah Ameur-Zaïmeche livre un brûlot politique étouffant, confirmant la richesse de sa cinématographie unique et essentielle dans le paysage du cinéma français.

Koko-di koko-da

Cette comptine conduit inexorablement au cauchemar et à la tragédie.

J’ai perdu mon corps

Jérémy Clapin signe un premier long-métrage qui emprunte au western urbain, au thriller, mais aussi empreint de romantisme, mêlant temporalités et souvenirs par un travail intelligent des images, des sons et des formes.