Shambhala, le Royaume des cieux
Balade en Himalaya
Balade en Himalaya
Un film qui ne flanche pas.
Un vrai faux documentaire d’apprentissage et d’émotion !
Le premier long-métrage d’Ariane Labed est peut-être notre film préféré, dans la dernière sélection « Un Certain Regard ».
Le père Noël n’est pas une ordure, quoique…
Un very bad trip au féminin saignant et cinglant.
Leni Riefensthal (1902-2003), opportuniste sans scrupule, a été une documentariste douée et un « compagnon de route » du nazisme, sans jamais le regretter jusqu’à la fin de sa très longue vie.
Anatomie perverse du Céline russe.
Un maquis solidaire.
Apprivoiser l’apocalypse
Sous les signes de Bertrand Mandico et de Fatal Bazooka.
Emancipation
Sans conteste, l’un des plus beaux films français de cette fin d’année…
Famille d’esprit
Sur Univers Ciné le 25 novembre, ce film étrange et psychologique du grand Steve Buscemi
La routourne tourne à vide : Hazanavicius continue de réaliser ses films comme d’autres assemblent des puzzles.
Rendez-vous manqué
Retour à Sarajevo (Éclats).
Une réflexion sur le mystère d’être un homme ou une femme, en quête d’échanges et d’épanouissement personnel.
Malgré certains défaut, un film entrainant qui réussit à retranscrire l’atmosphère et la complexité d’une époque étrange.
Une réflexion profonde sur les maux qui menacent nos sociétés promptes à se laisser guider par l’irrationnel et les présupposés.
Bulles temporelles
Jurassien Park : La vie trouvant toujours un chemin, les salmonidés remplacent les dinosaures.
Nathalie Emmanuel, grimée en Maggie Cheung/Irma Vep, nous offre une histoire visuelle des rooftops de Paris, depuis Musidora jusqu’aux influenceurs.
Ainsi parlait toubib.
Relation en marge
Trois ans après son court-métrage Adami, « L’arche des Canopées », Céline Sallette revient à Cannes et nous confirme qu’elle fait un cinéma de la candeur.
De Dakar à Nice
Barbes, paillettes, drags queens et peu d’émotion…
Du 28 septembre au 19 janvier 2025 au Jeu de Paume à Paris
Violence et révélation.
Et si notre monde libéral allait s’effondrer comme la Rome décadente ?
Pulsion de vivre
Au fond du gouffre avant la guérison…
2 chapitres en asymétrie
La peur du vide
Poétique des ruines
Dans Chien enragé, Tokyo est un immense brasier poussé à son point d’incandescence sous un soleil zénithal. Le récit policier déroule ici une filature harassante dans les entrailles de l’underworld. Sa faune est à nouveau le théâtre d’un duel exacerbé.
Duel silencieux entre un héros et son persécuteur.
Quand le « far east » pastiche le « far west ».
« Vivre » ne se résume pas à son questionnement métaphysique sur le sens de l’existence étriquée d’un fonctionnaire falot miné par un mal incurable. L’oeuvre vaut surtout comme un plaidoyer pro domo par son réalisateur qui, parvenu au milieu du gué, s’interroge sur son accomplissement. Un film impérissable en version restaurée.
Analyse de « Les Bas-fonds » (1957) d’Akira Kurosawa à l’occasion de la sortie en salles de neuf de ses films en version restaurée.
Vivre dans l’obsession de la folie meurtrière.
Dire sa douleur quand c’est impossible.
L’Emprise des sens
Los Angeles Kills Itself.
Réinterprétation
Sans un mot
Avec Rashômon, le scepticisme moral d’Akira Kurosawa interrogeait déjà, de manière éloquente, les faits du passé. Dans une théâtralité avouée, des benshis (récitants) évoquent rétrospectivement la même anecdote et ce récit en abîme et en forme d’échos reconduisait une vérité narrative à jamais insaisissable.
« Le jardin des Finzi Contini » est un film sur la mémoire suspendue et le temps retrouvé. C’est une œuvre impérissable qui est le véritable chant du cygne du « commandatore » Vittorio de Sica. Eblouissant d’émotion contenue dans sa version restaurée.