Faces cachées
Les masques tombent.
Les masques tombent.
Une panne d’électricité provoque une rencontre entre deux hommes solitaires et isolés du fin fond de l’Iran. Chef d’oeuvre absolu.
Un portrait réaliste du monde cruel du travail contemporain.
Description minutieuse mais sans empathie d’un amour non réciproque.
Un vieil ermite renaît à la vie tout à coup.
L’amour est plein de mystères et de poils.
Un documentaire habité et foisonnant sur un grand du cinéma et de l’Actors studio.
Tout de France des vignobles libres et sans pesticides !
Au cours du cours
Qui a peur de l’afro-futurisme ? Certainement pas Anisia Uzeyman ou Saul Williams.
Entre réalisme et magie, un homme cherche sa place dans le monde.
Une comédie mélancolie sur les affres de la création artistique.
Ou comment ne pas faire de la science-fiction du ter-ter.
Dans lequel la prison – au moins la prison mentale – existe à perpétuité.
En pensant à Ibsen, Emin Alper illustre parfaitement le drame de nos démocraties fragiles.
Métaphore sur la guerre et la mort, ce film est pourtant un film d’amour.
Noémie ne dit pas non hélas.
Un film en fer barbelé, MAD GOD en demande beaucoup au spectateur. Le spectateur l’en remercie.
Larmes, cris, paillettes et musique… Amel et les fauves est un film formellement grandiloquent, qui fait oublier le drame d’une nation toute entière.
17 ans après SHEITAN, Kim Chapiron réalise un film plus calme – Mais pas forcément le film de la maturité.
Comme les bijoux royaux qu’elle donne à voir, « La Dernière Reine » a des qualités ornementales. Un film prometteur, mais au final, plus joli qu’il n’est admirable.
Un film d’amour, de bromance et de musique dans la chaleur d’un été.
« Ne pariez jamais votre diable. »
Une loi homophobe dans l’Angleterre de Thatcher libère paradoxalement une jeune professeur.
Le plus beau film du monde, selon Sound and Sight !
Le prix du passage est à entendre de diverses manières, mais ne se réduit finalement pas seulement à un simple deal.
« Les vivants ferment les yeux des morts, mais les morts ouvrent les yeux des vivants. »
La mécanique capitaliste décortiquée par l’anarchie.
La lutte des classes expliquée à la génération Z.
Haro sur les stagiaires.
On est très sérieux quand on a quatorze ans !
Le cinéma regorge de chefs d’œuvre sur des personnages obsessifs qui ne reculent devant rien pour arracher la vérité à un système. Pourquoi THE LOST KING n’en est-il pas un ?
Prendre le contrepied du Voyage en Italie de Rossellini.
Un documentaire indispensable pour les droits de l’Homme et l’abolition de la peine de mort en Iran.
Une invitation au rêve et au voyage dans la droite ligne de Murakami.
Le dernier film de Cheyenne-Marie Carron interroge encore la foi.
Le bar comme lieu poétique de coeurs qui se soutiennent, avant disparition…
Le parcours existentiel et spirituel d’un aumônier militaire de notre temps.
Prendre des photos dans les camps nazis pour prouver et durer.
Passionnée par ses héroïnes résilientes, Mounia Meddour suggère par synecdoque que l’Algérie ne pourra jamais être vraiment brisée.
Peu accommodant pour le spectateur non-cinéphile, on pourrait dire d’Italia, le feu, la cendre, qu’il prêche des convertis. Reste que ce prêche est plein de panache savant.
Le déni de grossesse pour les Nuls !
Une radio pour la paix et l’entente dans un Moyen-Orient dévasté par Daesh.
Entre arnaques et magie, le quartier devient bijou…
Tu gagneras ton or à la sueur de ton front.
L’homme qui aimait le cinéma
Rapports de domination entre deux êtres qui croient s’aimer.
Garde bien la dernière « dance » pour moi !
Dans le cargo personne ne vous entend hurler.
Le drame des marchands de sommeil dans une banlieue bien trop stéréotypée