1 étoile Archives - Page 9 sur 10 - Il était une fois le cinéma

Another Silence

Du silence. Beaucoup de silence. Trop de silence. Rien à dire ?

Dernier étage gauche gauche

« Dernier étage gauche gauche » est un film ambitieux – voire curieux – mais terriblement maladroit, qui aurait sans doute mérité quelques semaines de tournage supplémentaires.

Love, et autres drogues

Une comédie romantique dans les années 90 qui aurait dû sortir dans les années 90. Vingt ans de retard…

L’Assaut

Un assaut efficace mais sans aucune piste de réflexion. Étonnant puis douteux…

Légitime Défense

Un thriller français maladroit dont vous êtes le héros et qui en veut terriblement aux animaux. Thrillant non?

Moi, Michel G, Milliardaire, Maître du monde

« Moi, Michel G… », satire molle sur un modèle de capitaliste pervers. Un monde mal maîtrisé par le cinéaste.

Sois Sage

Ce premier long métrage de Juliette Garcias révèle un travail et une logique formelle ambitieuse mais ne saurait convaincre entièrement sur le fond.

Cages

Premier long-métrage de Olivier Masset-Depasse enlisé dans des images démonstratives et un pathos qui rebute.

L’Audition

Le pathos, les artifices et le jeu outrancier de certains personnages gâchent une réalisation et un scénario convenables.

Intraçable (Untraceable)

Discours aseptisé et désuet sur le manichéisme aux États-Unis. Vain et naïf.

Sans état d’âme

Une tentative navrante d´égaler le brio d´un polar italien musclé, cérébral et urbain.

Un roman policier

Description réaliste d´un commissariat de banlieue minimisée par une dramatisation pleine de pathos et des thèmes uniquement effleurés.

Eden Lake ressasse les trouvailles de « Shining » et le style visuel de « Haute Tension ». James Watkins, pour sa première réalisation, manque de panache et d’originalité et n’évite pas la démonstration de genre. Reste la critique sociale et ses atouts véristes, chers au cinéma anglais.

Cowboy Angels

Malgré son titre, « Cowboy Angels » n’est pas un film américain. Le premier long-métrage de Kim Massee suit le parcours de Louis et Pablo, l’un, trafiquant à la petite semaine, l’autre, enfant délaissé. Embarqués dans la quête imaginaire du garçon, ils vont apprendre à s’apprivoiser.

Bouquet Final

Bouquet Final, premier film de Michel Delgado derrière la caméra, est une comédie cynique ancrée dans le milieu des pompes funèbres. Malheureusement, elle loupe sa vocation : on est loin de mourir de rire !

3 Amis

Claire, César et Baptiste sont amis depuis l´enfance. Après une assez longue période d´absence,...

Lagerfeld Confidential

Après une attente de 10 ans, le cinéaste Rodolphe Marconi obtient l’autorisation de faire le...

La France

Il y a des films qui investissent d’emblée notre imagination à la simple lecture du synopsis ou du...

Enfin Veuve

Ni un drame ni une comédie réussie, mais une succession de quiproquos banales qu´on oublie facilement.

Waiter !

Edgar, serveur depuis 25 ans, a un job minable, une femme malade, des voisins désagréables et une...

Un château en Espagne

Un film sur la fraternité entre deux amis d´enfance. Un film pour jeune public. Et encore…

La Nuit des tournesols

Il est des films d’où l’on ressort frustré. La Nuit des tournesols en fait partie. Le scénario est...

L’Audience (L’Udienza)

Tantôt flamboyant, parfois stagnant, le film de Ferreri est un film difficilement abordable à cause de son hermétisme et d’un rythme brisé. Un choix ambitieux et fort. Le film peut déconcerter.

Partir

Titre ambitieux qui donne envie d´aller voir plus loin, le dernière oeuvre de Catherine Corsini n´atteint jamais son but, ne surprenant jamais, déroulant tranquillement au fil des plans son statut de film anecdotique.

Je suis heureux que ma mère soit vivante

Je suis heureux que ma mère soit vivante ou l’adaptation d’une ligne, rubrique « faits divers », de n’importe quel quotidien. Faute de matière, force est de constater l’inconsistance du spectacle proposé.

Divorces

Un couple d’avocats spécialisés dans le divorce se retrouve à son tour confronté au problème. Enfoncer des portes ouvertes, appliquer des vieilles recettes sont au programme de cette comédie consensuelle.

2012

Déception annoncée, mercantilisme à son paroxysme. Même pas drôle.

Padre Nuestro

Echappée de deux jeunes Mexicains dans le New-York des bas-fonds, le premier film de Christopher Zalla nous laisse sur le trottoir, servant du recyclé et des clichés avec emphase.

Cours toujours Dennis (Run, Fat Boy, Run)

Déception pour le premier long-métrage de David Schwimmer, lui qui savait tout à la fois nous toucher et nous faire rire dans Friends.

L´Occitanienne

Quel défi que celui de représenter Chateaubriand ! L´idée du scénario de Jean Périssé est charmante. Malheureusement, le résultat est loin de des ambitions originelles.

Notorious B.I.G.

Décortiquant le mythe douze ans après sa disparition tragique, « Notorious B.I.G. » retrace l’ascension fulgurante de Cristopher Wallace, un intello rondouillard qui passe du deal aux disques d’or.

Mensch

Décousu et mou, Mensch brosse le portrait d´un trentenaire paumé, délinquant au grand coeur. Décevant.

Fair Game

Unique représentant du cinéma américain lors de la dernière sélection officielle du Festival de Cannes, « Fair Game » débarque ce mercredi avec ses gros sabots. Raté et peu recommandable.

Le Pacte (Seeking Justice)

Une société secrète, un mari désespéré, un pacte avec le diable… et un thriller qui tombe à plat.

Another Happy Day

On ne choisit pas sa famille, paraît-il. Sam Levinson en fait la démonstration dans un premier film inégal.

The Amazing Spider-Man

L’araignée a bien du mal à tisser sa toile.

Les Papas du dimanche

Comment reprendre goût à la vie après un douloureux divorce ? Louis Becker livre sa recette : des bons sentiments, des bisous, des câlins… On se lasse vite.

Le Merveilleux magasin de Mr Magorium (Mr. Magorium’s Wonder Emporium)

Un conte pour enfant dans un monde d’adulte. Un mélange qui manque toutefois de piment.

Bienvenue chez les Ch’tis

Carte postale ou comédie originale ? Bienvenue chez les Ch’tis n’est ni l’une ni l’autre.

Astérix aux Jeux Olympiques

« Panem et circenses » ou les jeux de l’Olympe pour tout public.

Moi, Peter Sellers (The Life and Death of Peter Sellers)

Biopic intéressante mais bien trop inégale pour être réussie que ce Moi, Peter Sellers. Peter Sellers est le génie, le comique extravagant, l’inspecteur Clouseau, le docteur Folamour, le monsieur Chance qui a marqué à jamais nos...

Tideland

Le retour du déjanté Terry Gilliam était tant attendu… Après l´avortement douloureux de The man who killed Don Quixotte, après le trop convenu Frères Grimm, Gilliam devait redevenir Gilliam : un dingue de l´imaginaire, un...

Querelles

Quand au pays des châhs Abbas Kiarostami accouche d´un chien.

World Trade Center

11 septembre 2001. Au moment où un avion de ligne s´écrasait dans la première tour du WTC,...

Truman Capote (Capote)

Philip Seymour Hoffman interprète le personnage de Truman Capote – à la fois dandy, intellectuel et amuseur public – qui se met lui-même en scène devant ses admirateurs. Ce double jeu évoque, de prime abord, l’intérêt majeur du...

Ricky

François Ozon coupe les ailes du cinéma français…

Jack Reacher : Never Go Back

La fin d’un mythe ?

Rock’n Roll

Le cinéma français au stade anal.

Happy ever afters

Une comédie fade malgré une ribambelle de personnages intéressants.

Shrek 4, il était une fin

C’est la fin de la saga, et… c’est tant mieux ! En dépit de quelques morceaux de bravoure avantageux, notamment du côté des « méchants », ce « Shrek »-là a perdu sa délectable ironie. Nulle facétie, que des bons sentiments : est-ce ainsi que les ogres vieillissent ?

Note : 1 étoile