Western Archives - Il était une fois le cinéma

La mort était au rendez-vous. Combo Blu-ray/DVD chez Elephant films.

La vengeance est un plat qui se mange froid dans le premier grand western de Giulio Petroni.

Trois pour un massacre. Combo DVD/Blu-Ray en version restaurée 2K chez Artus Films.

Il était une fois au Mexique. Magistral western Zapata de Giulio Petroni dans une superbe édition.

Les Trésors du Western – Coffret 7 DVD. Chez Elephant Films

Des grands espaces, des héros, des lâches, des indiens, des colons, de l’amour, de la vengeance : le mythe éternel du Far West et de son équivalent brésilien dans toute sa grandeur et sa violence impitoyable. Sous le regard de Cecil B. DeMille, George Sherman, Robert Aldrich….

Lanky, l’homme à la carabine (Sortie Blu-ray chez Frenezy Editions).

Étonnamment et injustement oubliée, la première salve de Tonino Valerii mérite une place d’honneur au cœur du western transalpin.

Et viva la révolution ! Sortie DVD/Blu-Ray chez BQHL

Concocté par le très habile Duccio Tessari, mené par l’irrésistible tandem Franco Nero/Ely Wallach, un western Spaghetti-Zapata des plus délicieux.

Un pistolet pour Ringo/Le dernier jour de la colère : deux combos Blu-Ray/DVD chez Artus Films.

Musique d’ Ennio Morricone pour l’un, scénario de Sergio Leone pour l’autre, et en vedette le bondissant et irrésistible Giuliano Gemma. Deux succulents westerns spaghetti à déguster sans modération

Eureka

Memoria

Oppenheimer (Édition Collector chez Universal Pictures)

Une réflexion sur la judéité au vingtième siècle, « Oppenheimer » est peut-être plus proche de « Stavisky » que de « Hiroshima, mon amour ».

Le souffle de la tempête, (Sortie DVD/ Blu Ray chez Rimini Editions)

Un western solaire signé Alan J. Pakula.

First Cow

First Cow, ou le verre de lait qui marque l’arrivée du pastorialisme.

Old Joy

Old Joy ou savoir trouver sa place.

L’Homme des hautes plaines

Après le plus que convaincant galop d’essai Un Frisson dans la nuit (1971), Clint Eastwood signait...

Digger

« Tout a un rythme. Ce qui compte c’est ce que voient tes yeux, pas ton esprit (…) Est-ce que tu aurais du tabac ? Pour une cigarette. »

L’Etat sauvage

Un film français qui s’attaque au monde du western, avec des acteurs français, c’est surprenant et captivant.

La Ballade de Buster Scruggs

Western Folk aussi talentueux que consistant.

Les Frères Sisters

Frères brûlés.

Le bon, la brute et le truand

Un western mythique et prophétique…

Il était une fois dans l’Ouest

Jill, la putain magnifique.

Pour une poignée de dollars

Sergio Leone réinvente un genre et façonne un nouveau type de héros.

Fureur apache (Ulzana´s Raid – Robert Aldrich, 1972)

Dans l’un de ses derniers grands films, Robert Aldrich lance Burt Lancaster à la poursuite d’apaches meurtriers et le laisse se perdre.

Josey Wales, hors-la-loi (The Outlaw Josey Wales – Clint Eastwood, 1976)

Eastwood redonne ses lettres de noblesse au western classique tout en offrant une vision personnelle dans ce très grand film.

Tom Horn (William Wiard, 1980)

Beau western crépusculaire méconnu et magnifique adieu à l’écran de Steve McQueen.

Keoma

Western envoûtant, « Keoma » ferme la marche de sa propre lignée générique dans un dernier souffle mystique.

Django

Si Sergio Leone est le premier à révolutionner le western, Corbucci va encore plus loin dans la peinture noire de l´Ouest américain.

Comancheria

« Western crépusculaire » du XXIe siècle, « Comancheria » saisit l’Amérique en plein désarroi de notre époque.

Jane Got a Gun

Un western professionnel mais très mineur. Pour le plaisir de voir Natalie Portman en découdre.

Jauja

Derrière le vernis aride de son style, Jauja se vit comme une invitation poétique, un appel à l’imaginaire des plus fertiles.

Le Grand Silence

1968, le western européen a explosé depuis le début des années 60 grâce a la « trilogie des dollars » de Sergio Leone. Depuis, de nombreux réalisateurs transalpins se sont engouffrés dans ce genre devenu lucratif et populaire.

Les Amants du Texas

Entre actions et sentiments, Les Amants du Texas » oscille de manière folk entre l´amour, la prison, les armes et la solitude. Très réussi. »

La poursuite infernale

Sans avoir la notoriété des « grands » westerns de Ford, La poursuite infernale (My darling Clementine, 1946) préserve à ce jour le charme d’un apaisement dans l’efficacité, d’une sérénité du geste et du récit toujours référentiels.

La Prisonnière du désert

Patience, démesure et écriture inspirée. Ford filme les quêtes, il rédige des certificats de bonheur et on verse des larmes. Grand film, grande vie, grand souvenir. Tout est dit dans ces métrages de pellicule. La vie ne sera plus jamais comme avant.

La Flèche brisée

Beau western, bel hymne antiraciste et belle gueule, celle d’un James Stewart plus torturé que jamais.

Le Gaucher (The Left Handed Gun)

Arthur Penn derrière la caméra, c´est rare de revoir cela. Le Gaucher, son premier film, reste un western ébouriffant qui décoiffe le cliché du teenage movie ! A revoir à l’Action Ecole pendant 5 semaines à partir du 30 avril.

L´Homme sans frontière (The Hired Hand)

Le début est magique. Ouverture sur une rivière. Un jeune homme, entièrement nu, se baigne...

Rio Bravo

John T. Chance, shérif de son état, arrête un meurtrier et lenferme dans la prison en attendant...

How the West wan won : le western américain ou le vertige de l’espace

Le film La conquête de l’Ouest est sorti aux Etats-Unis en 1962 sous le titre How the West was won. Il réunit trois réalisateurs : Henry Hahaway, John Ford et George Marshall

DVD « Django »

Wild Side édite une nouvelle version du film de Sergio Corbucci : l´occasion idéale de réviser ses classiques tout en découvrant le western de Quentin Tarantino.

Les Hors-La-Loi, Tewfik Fares, 1968

Premier film algérien en couleur, Les Hors-La-Loi évoque la volonté d´indépendance des Algériens durant la colonisation, mais se noie dans une partialité de propagande.

Django Unchained

Tarantino rate son « Naissance d´une nation ».

True Grit

Si l´ensemble est moins caustique qu´à l´accoutumée, le regard est peut-être moins sage qu´il n´y paraît. Une réussite évidente, mais un film moins attachant que ses prédécesseurs.

La Porte du diable (Devil’s Doorway – Anthony Mann, 1950)

Du massacre systématique des Amérindiens, ou comment diviser pour mieux régner.

Jim Jarmusch, cinéma barock

Le cinéma de Jim Jarmusch, de « Permanent Vacation » (1980) et « Stranger than Paradise » (1982) à « Coffee and cigarettes » (2003) et « Broken Flowers » (2005), semble dominé par le même esprit que celui qui règne sur le rock des origines : une furieuse liberté, l´association parfois hasardeuse d´éléments dépareillés, tirant le sublime de la dysharmonie.

Genre : Western