Comédie Archives - Page 9 sur 11 - Il était une fois le cinéma

Dans la vie

En choisissant de filmer en grande partie des femmes, Philippe Faucon prend le parti de la paix et de l´antiracisme.

Whatever Lola Wants

Comme on pourra aimer ce film qui, pour une fois, ne parle ni du terrorisme arabe, ni de la violence de la religion, mais juste de la beauté d´une partie de sa culture, la danse du ventre.

Mistress America

Le nouveau Noah Baumbach, belle comédie nostalgique entre rêves enfouis et fascination culturelle.

Marie et les naufragés

Le nouveau long métrage de Sébastien Betbeder, film romanesque dopé à l´aventure et aux histoires qu´on se raconte.

Rencontre avec Sébastien Betbeder

Sébastien Betbeder revient avec un nouveau film fantaisiste et romanesque, Marie et les naufragés ». Rencontre avec un cinéaste hors-système, amoureux des adulescents, de Resnais et de la météo. »

Les Voyages de Sullivan (Sullivan’s Travels, 1941)

Avec « Les Voyages de Sullivan », Sturges livrait une satire brillante de la prétention d´Hollywood à faire des films sérieux.

Mimì métallo blessé dans son honneur (Mimì metallurgico ferito nell’onore, 1972)

Machisme, féminisme et engagement politique dans une comédie outrée et hyperbolique.

21 nuits avec Pattie

Belle comédie irrévérencieuse, le nouveau film des frères Larrieu interroge aussi la puissance du récit.

Pride

Comédie sociale et engagée sur l’histoire vraie du front commun entre gays et mineurs contre Thatcher.

Artémis coeur d’artichaut

Moyen métrage bizarro-charmant sur une Artémis moderne héritée de la Nouvelle Vague.

Au cas où je n’aurais pas la palme d’or

Comédie douce-amère sur les affres du métier de réalisateur.

Les Coquillettes

Sophie Letourneur et ses copines à Locarno : coquillettes et absence de paillettes.

Toute l’histoire de mes échecs sexuels

Un trentenaire, habitué des relations foireuses et souffrant d´une fâcheuse tendance à se faire larguer, part à la rencontre de ses ex, caméra au poing. Et dresse dans ce documentaire un inventaire bancal des raisons pour lesquelles l´amour ne lui réussit pas.

Looking for Eric

Prix du Jury OEcuménique au dernier Festival de Cannes, le nouveau Ken Loach s´éloigne (seulement en apparence ?) du cinéma social qui a fait sa notoriété pour s´orienter vers la comédie pure. Une semi-réussite pour un film pas désagréable mais plutôt vain.

Les Beaux gosses

Sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs, le premier film de Riad Sattouf s´inspire des bandes-dessinées de l´auteur pour donner un résultat doux-amer réjouissant, léger comme une bulle de savon et grave comme les peines adolescentes, quelque-part entre American Pie et témoignage sociologique.

Mammuth

Portrait mélancolique d’un homme en quête de son passé, Mammuth oscille avec bonheur entre humour désopilant et nostalgie tenace. Critique en règle, quoiqu’un peu assagie, de la société, le film donne surtout l’un de ses plus beaux rôles à l’immense Depardieu. On est conquis, oui.

Ma Loute

Une farce nihiliste en bord de mer, aussi drôle que désespérée.

Les Filles au Moyen Âge

Enjoué et subtil, le deuxième long métrage d´Hubert Viel séduit par sa réalisation et surprend par son discours sur l´Histoire.

Le Trésor

Un conte satirique sur la société roumaine, surprenant et maîtrisé.

Ressortie « Le Départ » (1967)

Jerzy Skolimowski rencontre Bruxelles, le jazz, la Nouvelle Vague, l´automobile et Jean-Pierre Léaud. Une récréation juvénile.

Rendez-vous l’été prochain

Pour son passage derrière la caméra, Philip Seymour Hoffman signe une bluette new-yorkaise sans éclat, faussement indépendante et vraiment conformiste.

Le bal des actrices

Avant que « le Laboratoire » ne s’attarde dans quelques semaines sur les comédies à la française, jetez un coup d’oeil au « Bal des actrices »! Frais et distrayant, le deuxième film de Maïwenn, réalisatrice prometteuse, est certainement un bel exemple du genre .

Celle que j’aime

Une sympathique comédie à la française, avec tout ce que cette appellation peut évoquer dans l’imaginaire collectif. Qui peut le plus peut le moins…

Coffret Marx Brothers (Panique à l’hôtel et La pêche au trésor)

Un beau coffret. Un beau cadeau. De quoi se faire plaisir en toutes circonstances!

Super-Heros Movie (Superhero Movie)

Moins percutant que le célèbre Y a t-il un pilote dans l’avion, Super Heros Movie est malgré tout un film sympathique et attachant. Un bon moment de rigolade… et cela n’est déjà pas si mal!

Les Vacances de Monsieur Hulot

Hulot nous invite à partager les vacances de la bourgeoisie française d’après-guerre… en riant de leurs vices et de leurs caprices…

Live !

Un film sur les limites de la télévision et sur le diktat de l´audimat. Bougrement amoral.

Une chanson pour ma mère

Un seul Dave vous manque, et tout est dépeuplé.

Peines d’amour perdues (Love’s Labour’s Lost – Kenneth Branagh, 2001)

Boire ou séduire, il faut choisir ! Quand Kenneth Branagh joue avec le feu, << there may be trouble ahead... But while there's moonlight and music and love and romance... Let's face the music and dance ! >>

Darling Lili

Avec ou sans lunettes ? Clark Kent ou Superman ? Edwards, Blake. Profession : agent double.

L’Art d’aimer

<< I´m sorry Mademoiselle... mais je suis amoureux... - Vous avez de la chance ! - Je fais ce que je peux ! >> *

Du vent dans mes mollets

Filles des années 80.

Rien à déclarer

Non. Rien de rien… Ou quand les moules-frittes ne suffisent pas à relever la sauce d´une daube consensuelle. Ni mieux, ni moins bien que « Bienvenue chez les Ch’tis ».

L’Italien

« A 22 ans, on n´a pas besoin de se chauffer les fesses! » : l´Olivier de Kad aurait dû bâtir son film sur cette réplique quasi rimbaldienne… On n´est pas sérieux quand on fait de la comédie ! Du moins, on ne devrait pas…

Be Bad ! (Youth in Revolt)

Sois mauvais, Nicky, Nicky, Nicky ! « Moi j´veux de l´amour qui fait boum ! » * Un titre prometteur pour une bluette trop gentiment sucrée.

Comment tuer son boss ?

Une comédie sobre et efficace qui repose sur le comique de situation. Avec un casting réjouissant, « Comment tuer son boss ? » exploite le fantasme de tous les salariés pour le bien-être de leurs zygomatiques. A voir absolument !

Neuilly sa mère !

« Neuilly sa mère » a le chic d’avoir un point de vue pertinent tout en étant hautement divertissant. La comédie réalisée par Gabriel Julien-Laferrière sur les tribulations d’un adolescent << téléporté >> de sa banlieue populaire à celle, plus bourgeoise, de Neuilly-sur-Seine, mérite toutes les attentions.

Le Temps de la kermesse est terminé

Une réflexion cynique et didactique sur les rapports malsains qu’entretiennent souvent les Africains et les Français. Il y a des vérités qui dérangent, dit-on. Certains en feront l’expérience avec « Le Temps de la Kermesse est terminé » de Frédéric Chignac.

Romaine par moins 30

Une comédie fraîche, portée par une Sandrine Kiberlain tout aussi rafraîchissante dans une contrée pourtant fort enneigée. Romaine par moins 30 d’Agnès Obadia a tout pour nous réchauffer l´âme.

La Première étoile

La Première étoile est une comédie lumineuse qui slalome sur les singularités pour atteindre les hauteurs de l´universel. Le premier long-métrage de Lucien Jean-Baptiste s´apparente à une avalanche salvatrice dans un cinéma français qui peine à mettre en valeur ses héros noirs. Des héros comme les autres.

Getting Any ?

Alors bon, on ne va pas essayer de vous faire croire que Getting any ? est le chef-d´oeuvre méconnu du japonais taciturne, à ranger d´emblée entre Hana-bi et Sonatine. Non, c´est un film de tâcheron qui ne cherche pas à contribuer à un quelconque grand-oeuvre, une grosse pochade seulement symptomatique de son époque, et qui permet de remettre un peu en perspective, par le petit bout de la lorgnette, certaines obsessions esthétiques que l´on retrouve dans ses autres films. C´est moche, c´est bête, c´est pas respectable pour deux sous, et c´est ça qu´est bien.

Genre : Comédie