Auteur : Jean-Baptiste Viaud

François Ozon rate son « Jeune et jolie », Jia Zhangke livre une chronique désespérée de la Chine contemporaine. Et il pleut, inlassablement.

La belle Palme d’Or à Haneke sauve tout juste un palmarès décevant, presque de mauvaise foi. Et Carax, dans tout ça ?

Docu et autofiction au cinéma Méliès de Montreuil du 4 au 12 octobre.

Deux très beaux films aujourd´hui, le Carax et le Hong Sang-Soo. Deux films qui disent que le cinéma est le lieu de tous les possibles.

La Croisette hue « Paperboy » ; nous, on l’aime plutôt bien. Catherine Corsini revient avec « Trois mondes » ; on aime moins.

On fait beaucoup la queue, le week-end à Cannes. Et on n’entre pas toujours aux projections. Mais on a vu « Amour », le nouveau Haneke.

Noémie Lvovsky revient sur ses amours adolescentes dans le très drôle « Camille redouble » ; Robert Pattinson ne ressent rien dans « Cosmopolis », le Cronenberg tant attendu.

Fin de festival, « Mud » en dernière séance, retour à Paris.

Matteo Garrone revient avec un film oubliable ; Xavier Dolan déçoit avec « Laurence Anyways ».

Bruno Podalydès offre le premier film drôle du festival ; Thomas Vinterberg revient avec un film plus sage. Et on s’éloigne de la compétition pour découvrir les sections parallèles.

Deux films de la sélection officielle pour commencer, et s’ajuster au rythme frénétique du plus grand festival du monde.

En attendant le Leos Carax, on n’a pas aimé le Bonnaire, beaucoup plus le Delépine et Kervern. Et le soleil est revenu.

Avec « Antiviral », Brandon Cronenberg, fils de, livre la première véritable (bonne) surprise du festival.