2019 Archives - Page 3 sur 4 - Il était une fois le cinéma

Buñuel après l’âge d’or

Un film d’animation au graphisme poétique pour révéler à nouveau le génie d’un grand maître du cinéma.

Anna, un jour

La vie de couple comme une silencieuse tragédie.

Noureev

Un biopic au style élégamment suranné non dénué d’une forme de sincérité.

Le daim

Quentin Dupieux nous surprend encore avec son film le plus abouti.

Greta

Thriller à ficelles dont la valeur tient beaucoup au magnétisme pervers dont se joue Isabelle Huppert.

Un havre de paix

Le portrait de trois frères dans un kibboutz comme métaphore de la tragédie d’Israël

Zombi Child

Bertrand Bonello use d’un imaginaire éprouvé pour détourner nos attentes.

Lune de miel

Anna accompagne son mari en Pologne pour retrouver ses racines et nous offrir une belle comédie.

Un film trop doux dans sa mise en scène qui n’ose pas raconter ce qu’il nous raconte : la longueur de la route nous endort au lieu de nous faire vivre une expérience aux limites du corps et du collectif.

Piranhas

Portrait d’une nouvelle génération de mafieux napolitains ou le règne du mineur.

Parasite

« Parasite » n’est pas seulement la Palme d’or du Festival de Cannes, c’est aussi l’un des plus haletants thrillers de l’année.

Atlantique

Le premier film de Mati Diop, Grand Prix du Festival de Cannes cette année.

On va tout péter

Avec l’ultralibéralisme, la classe ouvrière ira malheureusement en enfer… C’est ce qu’exprime ce film présenté à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes.

Sibyl

Un film qui nous caresse quand on voudrait qu’il nous brûle.

Le Fils

Pour rendre hommage à son cousin mort au combat, le jeune réalisateur plonge dans l’univers des Spetznaz pour montrer l’horreur de la guerre et de la mort.

Douleur et gloire

Autoportrait en cinéaste.

Festival de Cannes 2019 : le Palmarès et tout ce qu’il faut retenir de cette 72e édition

Retour sur une édition splendide avec un Palmarès assez surprenant, qui a donné la Palme d’Or au Coréen Bong Joon-ho plutôt qu’à Quentin Tarantino ou Pedro Almodovar.

Cannes 2019, jours 7 et 8 : Tarantino au sommet, les Dardenne touchent le sensible, Bong Joon-ho potentielle Palme d’Or

Voilà trois films dont nous aimerions vous parler dans ce carnet de bord Cannois, trois films d’un très grand niveau, qui animent la Compétition Officielle comme jamais.

Sibyl

Pousser la femme dans tous ses états, c’est ce que réussit la réalisatrice Justine Triet avec Virginie Efira en psychanalyste-écrivaine-maman.

The dead don’t die

Ouverture du festival de Cannes 2019, Jim Jarmusch surprend tout le monde avec un film de zombie type des années 80, à la limite entre navet et génie.

Meurs, monstre, meurs

Alejandro Fadel crée un giallo dérangeant qui pèche par approximations et foisonnement d’images, malgré un traitement singulier et un dégoût plaisant.

Hellboy

Daube infernale.

Quand Fellini rêvait de Picasso

Une plongée dans les nuits créatives du maestro italien. Exposition à la Cinémathèque française jusqu’au 28 juillet.

Retour de flammes

Comédie sentimentale réussie sur un couple de quinquagénaire qui cherche un nouveau souffle.

Les Météorites

Nina et les météores.

Jessica Forever

« Joujou » avec Jessie.

Dieu existe, son nom est Petrunya

En défiant le monde des hommes en Macédoine, une jeune femme s’impose.

Le livre d’image

Godard, roi du montage.

Monrovia, Indiana

Avec « Monrovia, Indiana », Frederick Wiseman filme en ethnographe une partie de son pays,une tranche de vie calme mais toujours plus repliée sur elle-même.

Mais vous êtes fous

Inspiré d’un fait divers, le film reste sobre dans sa description du propos et évite ainsi de tomber dans les clichés en tout genre concernant la drogue. Cependant, à trop vouloir être descriptif, les intentions de la réalisatrice se perdent et l’on reste sur notre faim.

Je vois rouge

Partie enquêter sur le passé d’espion de sa famille, la réalisatrice revient plus riche d’elle-même.

Alpha : the right to kill

Malgré ses qualités de mise en scène, on reste dans une perception très imprécise du réel implacable filmé.

Une part d’ombre

Thriller psychologique ou drame familial. Le film n’arrive pas à faire un choix.

L’Epoque

Portrait nocturne de jeunes à la recherche de la vérité.

Première campagne

Dans la peau d’une jeune journaliste au cœur de la campagne d’Emmanuel Macron : une immersion qui reste trop en surface.

Le Cercle des petits philosophes

En questionnant une classe de primaire, on comprend mieux l’intelligence et la vivacité de l’enfance.

El reino

Présenté comme un thriller volontairement confus, le film est un réquisitoire contre la malhonnêteté en politique.

La Camarista

Comme un écho à Roma d’ Alfonso Cuarón, ce nouveau film mexicain creuse encore la condition de la femme de chambre.

Simetierre

Nouvelle adaptation du roman éponyme de Stephen King, « Simetierre » apparaît comme un succédané maîtrisé et divertissant mais sans force poétique.

Les oiseaux de passage

Plongée mystique dans la vente de cannabis en Colombie dans les années 70.

La lutte des classes

Une comédie de mœurs contemporaine qui évite « l’air du temps », questionne par des paradoxes bien formulés, mais manque parfois de cohésion dans son scénario comme son travail esthétique.

Los Silencios

Les fantômes pour évoquer les morts pour rien qui nous hantent.

Companeros

Le troisième long métrage d’Alvaro Brechner, tiré de faits réels, nous entraine dans une longue nuit de douze années d’emprisonnement de trois guérilleros d’opposition à la dictature militaire urugayenne, dont José Mujica, futur président du pays. Un récit sombre, qui nous rapproche de l’homme.

Année : 2019