Mélodrame Archives - Page 4 sur 4 - Il était une fois le cinéma

L’Amour a ses raisons

« L’Amour a ses raisons », troisième épisode de « Manuale de amore », apparait comme le moins savoureux de cette série sur les pérégrinations amoureuses réalisée par Giovanni Veronesi.

Coco Chanel et Igor Stravinsky

Une magnifique proposition cinématographique qui perd de son souffle au fil du récit, en dépit du charme ravageur de son duo d’acteurs.

Celui par qui le scandale arrive (Home from the Hill – Vincente Minnelli, 1960)

Du haut de sa maison, Robert Mitchum regarde le monde en bas frapper à sa porte.

À la merveille

Terrence Malick surfe sur la réussite de « Tree of Life » avec une ode à l’amour passionnel qui manque son coup.

Diamants sur canapé (Breakfast at Tiffany’s – 1961)

Cinquante ans après sa sortie en salles, « Diamants sur canapé » n’a rien perdu de son charme, subtile alchimie entre romance et satire sociale.

Et les lâches s’agenouillent… (Cowards Bend the Knee)

Guy Maddin, demi des Maroons, l’équipe de hockey sur glace de Winnipeg, est en proie à des...

Accompagné de la belle interprète Eugenia, le poète russe Gortchakov visite l’Italie, afin d’écrire un livret d’opéra sur Sosnovski, serf et musicien russe du 18e siècle qui, envoyé par son maître à Bologne pour y développer ses dons, préféra par nostalgie revenir esclave dans son pays où il se suicida

Les Dames du Bois de Boulogne

Deuxième long métrage de Bresson, Les Dames du bois de Boulogne intervient trop tôt (1945) pour représenter sa maturité artistique.

La chance de ma vie

Tout ce que vous avez voulu savoir sur une comédie romantique ratée.

Regarde-Moi

Nombreux sont les films français sortis cette année concernant les adolescents : Naissance des...

Ne touchez pas la hache

Un général français, Armand de Montriveau, arrive sur une île espagnole pour rétablir l´autorité...

My Blueberry Nights

Le titre de cinéaste du romantisme éthéré, langoureux et désenchanté étant conquis, Wong Kar Wai...

Je suis un cyborg

Le titre français, malencontreusement rogné, déplore encore une fois les conséquences d’une...

Panique à Needle Park

New York. Les années 70. La vie, la drogue, l’amour, la trahison, la haine, l’austérité, la...

Le Prestige de la mort

Le prestige de la mort de Luc Moullet est avant tout une diatribe acidement comique ou comiquement...

Out of Africa (1985)

En adaptant le récit autobiographique de Karen Blixen, une jeune Danoise expatriée en
Afrique, Sydney Pollack touche le jackpot : sa peinture du pays et l’attractivité du sujet
font de << Out of Africa >> une fresque romanesque intemporelle.

Colonel Blimp (The Life and Death of Colonel Blimp, 1943)

Raconter la belle amitié d’un colonel britannique et d’un officier allemand en pleine Seconde Guerre Mondiale aurait pu être un fiasco retentissant. Pourtant, en dépit des épreuves qui leur ont été infligées, Michael Powell et Emeric Pressburger se sont battus pour accoucher de ce Colonel Blimp, entreprise aussi audacieuse que réussie.

La Cité interdite (Man cheng jin dai huang jin jia)

« Les occidentaux peuvent apprécier la culture chinoise à travers de mes films ; c’est un bon...

L’Homme qui rit

Quand Edward aux mains d’argent tailladait le manuscrit du film de sa vie.

L’Amour c’est mieux à deux

Dominique Farrugia reprend la caméra pour cette comédie sur la vision diamétralement opposée du rapport amoureux de deux amis d’enfance. Bonne nouvelle ?

Portier de nuit (Il Portiere di notte)

Portier de nuit, réalisé par Liliana Cavani, sort sur les écrans en 1974 et crée une polémique...

L´héritage de Salò ou les 120 jours de Sodome

Salò ou les 120 jours de Sodome sort sur les écrans parisiens le 22 novembre 1975, quelques jours après on annonce la mort de son réalisateur, Pier Paolo Pasolini, assassiné sur une plage d´Ostie.

Le Secret de Brokeback Mountain

Film inégal dans sa représentation d’une romance entre deux hommes.

Bright Star

Une esthétique impressionnante, pour un cinéma hommage qui ne parvient pas à nous transmettre une réelle émotion.

Un millier d’années de bonnes prières (A Thousand Years of Good Prayers)

Le voyage du foulard rouge…

Crazy night

En dépit de sa petite morale parasite, voire pénible (la famille, c’est trop top), « Crazy night » dispose d’un atout imparable : l’alchimie comique du tandem Tina Fey-Steve Carell. Irrésistible de burlesque et de drôlerie.

Titanic

« Titanic » est un fantasme : la recréation d´une époque, d´un paquebot mythique, d´un naufrage réel. Bref, la cristallisation sur pellicule d´un arrière-monde spectaculaire, qui se pare du double alibi de l´histoire la plus authentique et du sentimentalisme le plus éculé…

Chambre avec vue

Ressortie en salles de « Room with a View » : cette chronique d´une éducation sentimentale à l´époque édouardienne séduit autant par son esthétique raffinée que par ses discrètes audaces.

Trishna

Pari séduisant sur le papier, cette transposition de « Tess » dans l´Inde contemporaine pâtit de sa froideur et de sa superficialité.

Le Cancre

Entre rêves et réalité, un beau film aux échos autobiographiques.

Mademoiselle

Un thriller électrique aux ombres hitchcockiennes.

Only Lovers Left Alive

On retrouve beaucoup de la sève originelle de Jim Jarmusch dans ce film même si ses deux héros vampires et dandys déconcertent un peu.

Royal Affair

Superbe épopée et histoire vraie, le dernier film de Nicolaj Arcel est splendide, haletant et magnifiquement interprété.

Trop jeunes pour mourir (Jukeodo jo a)

L’amour chez les seniors, un sujet inspirant et original, mis en scène dans un film plutôt décevant.

Une Promesse

Transposition guimauve sans intérêt d’une nouvelle de Stefan Zweig.

Le Duel silencieux (Shizukanaru ketto – Akira Kurosawa, 1949)

« Le Duel silencieux » est à la fois une oeuvre hybride et un mélodrame boursouflé. Un médecin se débat dans les affres d’une lutte intérieure vaine entre désir et conscience morale pour un crime qu’il n’a pas commis. Le film se lit comme la métaphore d’un Japon stigmatisé après sa défaite cuisante et qui veut retrouver une virginité.

Les Fiancés

Avec << Les fiancés >> , Ermanno Olmi choisit le parti-pris de dédramatiser sa narration. L’exil temporaire d’un ouvrier soudeur en Sicile est le prétexte pour << resouder >> les liens avec sa fiancée. Le cinéaste y montre comment l’éloignement peut abolir la temporalité en exacerbant le souvenir de l’autre. Le silence de l’amour.

Genre : Mélodrame