Bardot
La vie de celle qui fut adulée, puis détestée et à qui Gainsbarre avait dédié sa plus belle chanson, « Initiales BB »…
La vie de celle qui fut adulée, puis détestée et à qui Gainsbarre avait dédié sa plus belle chanson, « Initiales BB »…
Gilles Deleuze disait être des meutes, des hordes. 100 ans après sa naissance et 40 ans après sa mort, que sont devenus les Gilles Deleuzes ?
Une affaire menée avec sérieux et impartialité mais dont le résultat ne dépasse pas vraiment ses très louables intentions.
Grâce à son cousin, Dominique Cabrera revient sur un film du patrimoine pour l’éclairer et le sublimer.
Corde et raccords.
Juste et droit
Une présentation particulière
Critique du grand retour d’Alexandre Astier.
Fierté creuse
Nulle part et ailleurs
Une histoire précise et efficace du Japon depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale à travers la terrible blessure de Nagasaki.
Ménage à trois
Une journée particulière opère la fusion parfaite entre drame existentiel, critique sociale et reconstruction historique. En mémorialiste désabusé qui porte un regard humaniste sur son pays, Ettore Scola laisse libre cours à sa mélancolie et son proverbial « pessimisme gai » qui sait admirablement inscrire la petite histoire dans la grande. Le cinéaste offre un film réduit à sa plus simple expression, dépouillé de tous ses oripeaux sinon ceux, omniprésents, des régimes fascistes et nazis unifiés pour l’occasion. Relecture ..
« Valentine Cadic nous rappelle que ce ne sont pas les épreuves des JO qui font l’histoire mais les rencontres qu’elles produisent, les amitiés qu’elles créent et les émotions qu’elles suscitent. »
« Au-delà d’un conflit entre deux populations, Transamazonia pose aussi la question des origines et de l’appartenance : est-ce que la civilisation dans laquelle nous sommes nés nous définit forcément à vie ? «
« Pour son premier film, Ratchapoom Boonbunchachoke choisir de revisiter les traditions de son pays en y apportant un humour teinté de cruauté et d’absurdité dans un monde où le fantastique s’est inscrit dans le quotidien. »
Seul contre tous
Dans ce onzième film, Jafar Panahi se souvient de ses camarades de prison en Iran.
Géopolitique jazzy.
Dans la Chine de Xi Jinping (dont les aspects problématiques ne sont pas évacués : spéculation immobilière, destruction du bâti ancien, exploitation de la main d’œuvre, solitude et difficultés de communication entre les êtres), un couple entreprend d’assurer à son fils unique une formation musicale optimale en Europe (Estonie). Les deux parents, étonnants de naturel devant la caméra, n’hésitent pas à se dire tout (la femme à son mari par exemple) et témoignent de l’amour extraordinaire qu’ils portent à leur fils. Leur détermination est impressionnante, comme leur dignité.
A travers des personnages qui se cherchent, le réalisateur rend hommage à la Nouvelle Vague et brosse un portrait vivant de sa Géorgie contemporaine.
De l’autre côté du miroir
Et si la danse, et le hip hop en particulier, pouvaient réconcilier avec soi-même et la société ?
Jeunesse et volonté.
Bizarre drame fantastique allégorique, Dans l’ombre de Marlow (film français à très petit budget) semble marcher dans les pas de David Lynch mais sans en posséder aucunement le talent. On suit avec peine la déambulation d’une jeune femme qui semble marquée par un traumatisme familial et cherche à déposer le manuscrit du livre qu’elle en aurait tiré dans une mystérieuse « Boîte » perdue en plein désert espagnol, en échappant à un mystérieux tueur masqué comme sorti d’un film de Sergio Leone.
Voyage au bout de l’image.
Ne réveillez pas le chat qui dort *
#EatTheRich ?
Critique d’un body horror qui ne s’assume pas.
Critique du succès horrifique de l’été.
Au milieu de nulle part, des « braves gens » sous la menace d’un duo de braqueurs sans vergogne. Même si les ingrédients dégagent un parfum de déjà vu, la recette de ce film noir et amère ne manque pas d’épices.
Recadrer l’intime
Dans de belles couleurs froides, Keff tisse un portrait en demi-teintes du Taïwan moderne.
A travers le jeune Melrick, le réalisateur fait revivre son petit cousin Lucas Diomar, assassiné en 2012.
Retour vers le présent.
Pour un cinéma de l’infra-ordinaire
Onirisme déceptif
Cette adaptation partielle de l’Odyssée d’Homère se signale surtout par ses faiblesses. Elle reprend l’idée du retour impossible du guerrier, trop marqué par ce qu’il a fait ou vécu pour pouvoir se réinsérer dans la vie normale, et qu’écrase un sentiment de culpabilité pour les crimes accomplis. Il ne reste rien du mythe de l’industrieux Ulysse, déterminé à reconquérir femme, enfant et royaume.
L’hypnose comme dévoilement de la bêtise du monde du travail actuel.
Avec empathie et humour le réalisateur Andreas Dresen a rendu hommage à un auteur-compositeur de grand talent, communiste resté par choix dans l’ex-RDA mineur dans un site d’excavation du lignite, mais que ses convictions politiques ont conduit à se compromettre avec la Stasi.
Eblouissement visuel et sonore, Les Chevaux de feu du cinéaste Sergueï Paradjanov présente dans un tourbillon d’images inégalé une histoire d’amour fou dans les Carpates à l’époque de l’empereur François Joseph. C’est un drame poétique qui n’a guère d’équivalent dans l’histoire du cinéma mondial.
Restauration 4K
L’âge d’or des opérettes filmées et des « musical » français en 500 pages.
Imagine une maison.
Film underground, féministe, étrange et dérangeant. Envoûtant et envoûté.
La fin et le début
Sur la rive gauche de l’Ourcq.
En adoptant un point de vue aussi sombre sur la transition vers l’âge adulte, « Les Enfants rouges » démontre la capacité de jeunes enfants à supporter des événements aussi traumatisants à l’aide de leur imagination et de leurs croyances personnelles.
L’enfer de la toile.
Cours, cours, le furet.