L’argument sardonique de « La dame sans camélias » jette un regard cru et sans fard sur l’époque où le film fut tourné. Second opus du cinéaste de Ferrare, il dévoile l’envers du décor du cinéma et l’engrenage chimérique d’une célébrité contrainte comme le sourire embué de larmes de Lucia Bosé prise dans les rets de Cinecittà.
Néo-western, brûlot féministe ou romance sentimentale ?
Amérique fanée.
Un film d’amour sur fond de tragédie, d’idéologie et de terrorisme…
Après le plus que convaincant galop d’essai Un Frisson dans la nuit (1971), Clint Eastwood signait...
Braquage à la française sur Netflix
Le Coin du Cinéphile s’immisce cette semaine dans vos rêves.
Une aventure angoissante qui se perd dans ses propres tourments.
Jacques Rozier prolonge un peu le rêve hippie avant l’évasion normée de « Les Bronzés »
