Comédie dramatique Archives - Page 8 sur 14 - Il était une fois le cinéma

Les Petits Mouchoirs

Trop lol Marion Cotillard sur une bouée, trop snif Dujardin à l´hosto… Capable de plus et de mieux, Guillaume Canet sombre dans le binaire et le tire-larme.

Le Bruit des glaçons

Blier trompe la mort. Et c´est très lourd.

Plan B

Lassé des mielleuses et répétitives comédies romantiques hollywoodiennes, Marco Berger s´empare du genre et le ramène aux sources : l´émotion. Une belle surprise.

L’Arbre

Charlotte Gainsbourg a le deuil élégant dans les paysages du sublime Queensland et Julie Bertuccelli signe un film qui se regarde joliment briller. Une déception.

Caotica Ana

Ambitieux, audacieux mais malheureusement très bancal, Julio Medem ne maîtrise pas cette fresque quasi mythique sur les violences faites aux femmes.

Contes de l’âge d’or

Parce qu´il vaut mieux rire que pleurer, « Contes de l´âge d´or » fait d´une réalité tragique une comédie loufoque.

Yuki et Nina

Confrontation entre deux personnalités et deux univers, Yuki et Nina donne à l´enfant la possibilité de dire << je >>, sans pathos ni niaiserie.

L’Anguille (Unagi)

Récompensée par une palme d’or à Cannes en 1997, la deuxième de la carrière de Shohei...

Un coeur simple

« Je veux apitoyer, faire pleurer les âmes sensibles, en étant moi-même. » Gustave Flaubert

New York-Miami (It Happened One Night – Frank Capra, 1934)

Histoire d’une bifurcation.

DVD et Blu-ray « Café Society »

La vie est un long fleuve.

Viridiana (Luis Buñuel, 1961)

De l’impossibilité d’être une sainte en Espagne franquiste, ou l’hypocrisie du régime.

Last Flag Flying

Que reste-t-il du Vietnam quarante ans plus tard ? L’Irak, la mort, le deuil.

Ava

Mieux que Pierrot le fou, Ava la folle.

Coffret Pierre Zucca

Zoom sur Vincent Mit L´âne Dans Un Pré, Roberte, Rouge-gorge et Alouette, Je Te Plumerai

Actrices

Remarquable par sa précision sans détours, et dérangeant par ses méandres de sombre angoisse.

I don’t want to sleep alone (Hei yanquan)

Après avoir fait chanter des âmes en peine sous la chaleur écrasante d´un été caniculaire dans La Saveur de la pastèque, Tsai Ming-Liang, chantre de la poésie urbaine, signe avec I don´t want to sleep alone, une oeuvre fiévreuse et déchirante dans laquelle quelques obsessions passées côtoient celles du présent. Tristesse du monde, beauté des silences, émotion dans les regards, sentiments bruts. Son meilleur film depuis Et là-bas quelle heure est-il ?

Lulu femme nue

Partir pour mieux revenir, se perdre pour mieux se retrouver : tels sont les adages de ce film optimiste et chaleureux, sans grande prétention cinématographique malgré une belle interprétation.

Eté précoce

Un film d’une grande finesse sur un Japon en plein bouleversement

Une auberge à Tokyo (Tokyo no yado)

Pesanteur du pas du père et de ses deux fils le long de ce chemin de terre sans fin apparente. Le cadre est cisaillé de fils électriques qui paraissent guider leur errance. Le père va tenter sa chance dans une nouvelle usine,...

Loulou (1980)

L’amour à corps perdu.

Les Amours d’une blonde (Lásky Jedné Plavovlásky, 1965)

Fin de bal pour la jeunesse tchèque.

Film d’amour et d’anarchie

Rome, ville déserte. Un paysan italien part à l´assaut de la froideur de la capitale italienne et de son chef : Benito Mussolini.

La Baronne de minuit (Midnight – Mitchell Leisen, 1939)

Sous les traits d´une comédie savamment écrite et mise en scène, Mitchell Leisen se livre à une réjouissante satire des moeurs parisiennes des années 1930.

Sous les toits de Paris (1930)

Une première incursion très singulière de René Clair dans le cinéma parlant.

César et Rosalie

Deux hommes, une femme : l’amour et ses contrariétés.

Une histoire vraie (The Straight Story – David Lynch, 1999)

Où une tondeuse à gazon n’empêche pas l’épopée.

Une Famille heureuse

Portrait de femme.

La Mort de Staline

Marx brothers

Café Society

Bagels et champagne

Truman

Lauréat des Goya du meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur acteur (entre autres), Truman est un film émouvant sans être larmoyant

Les Rois du monde

Une preuve de plus que le ridicule ne tue pas.

This is not a love story

Un film drôle et touchant sur la force de l’amitié et l’amour du cinéma.

L’Année prochaine

Un récit d´apprentissage maladroit et rempli de clichés.

Un jeune Poète

Le charme discret de la poésie

La Tête haute

Catherine la grande soeur.

Fin de partie

Le club des cinq contre l’acharnement thérapeutique.

Rendez-vous à Atlit

Un film au message certes salutaire, mais d´une lourdeur rébarbative.

Xenia

Une odyssée au pays des enfants perdus.

Geronimo

Un « West Side Story » trop fébrile.

Robot and Frank

Une mise en scène authentique, un scénario original, un casting excellent… « Robot and Franck » réunit tous les critères pour être une bonne surprise !

Big Fish (2003)

Un film à part dans la filmographie de Tim Burton, il est sans doute également le plus personnel de tous. « Big Fish » est empli de poésie et de magie et même s´il est inégal, on prend toujours le même plaisir à le regarder.

The Descendants

Un feel-good movie gentillet mais attachant qui met en scène un Clooney à contre-emploi…

Nouveau départ

Un « feel good movie » qui remplit son contrat, mais qui s´enlise dans un épilogue trop plein de bons sentiments.

Toast

Les souvenirs d’un cuisinier british so famous mis en scène au rythme des chansons de Dusty Springfield et de vieux tubes français : tout un programme !

Une vie difficile (1961)

Ce film raconte l´histoire d´un ex-résistant idéaliste nommé Silvio Magnozzi, interprété par Alberto Sordi. Ce rôle est assez atypique pour Sordi, qui ne joue pas cette fois un personnage vil, je-m’en-foutiste, mais un homme qui s´est battu pour un monde nouveau, ayant confiance dans les valeurs qui l´ont poussé à agir.

O Brother, mythe where art thou ? (2000)

Autant l´affirmer d´emblée O Brother n´est pas un film mythique.

Henri

Avec son deuxième long métrage, Yolande Moreau nous offre en toute simplicité et douceur un instant de vie digne des grands récits naturalistes. « Henri » est un film à croquer à pleines dents, sans plus tarder.

Tony Manero

Chili 1978. La dictature de Pinochet étouffe sans relâche un peuple avide de liberté. Tony Manero, personnage mythique incarné par J. Travolta dans « Saturday Night Fever », véhicule l´évasion de Raúl. Mais cette rêverie tourne vite au cauchemar, et le disco ne trouve plus sa place dans une réalité difficile à supporter. Ce film expose sans hésitation le désespoir du désenchantement

Harold et Maude

Adolescent des riches banlieues, Harold rencontre Maude, bientôt 80 ans. Son petit monde bascule, car Maude représente la liberté en majuscules. Nous sommes en 1971, version Etats-Unis d’Amérique.

Genre : Comédie dramatique