Drame Archives - Page 36 sur 39 - Il était une fois le cinéma

Élève libre

L’occasion cette semaine de découvrir un jeune acteur prometteur (Jonas Blanquet), dans un film difficile mais qui confirme le talent de Joachim Lafosse après « Nue propriété » et « Ça rend heureux ».

Entretien avec Andrzej Wajda

Une rencontre tout en douceur avec le cinéaste Andrzej Wajda, de passage à Paris à l’occasion d’une double actualité : un nouveau film, « Tatarak », et une rétrospective à la Cinémathèque française.

La Peau douce (François Truffaut, 1964)

Boudé par la critique et le public lors de sa sortie en salle en 1964, le 4e long métrage de Truffaut est aujourd’hui une oeuvre « culte ». Un beau film de voyeur triste sur une liaison adultère.

Lacombe Lucien (Louis Malle, 1974)

Ce portrait d’un petit salaud ordinaire sous l’Occupation provoqua des débats politiques très vifs, lors de sa sortie en salle. Rétrospectivement, c’est l’un des films les plus puissants de Louis Malle.

Still Walking en DVD

C’est sans doute son film le plus personnel. Un dimanche d’été. Une maison pleine d’ombres. Une famille jamais remise d’un deuil : Kore-Eda Hirokazu filme comme personne la profondeur derrière l’ordinaire. Le temps qui passe, surtout, derrière une apparente immuabilité. Délicat et fort.

Entretien avec Xavier Giannoli

Rencontre avec un cinéaste qui, avec « A l’origine », veut chercher « la vérité à travers la fiction ».

Rencontre avec Lucas Belvaux et Yvan Attal

C’est la première fois qu’ils travaillent ensemble. Lucas Belvaux est le réalisateur de « Rapt », en salle ce 18 novembre,Yvan Attal son interprète principal. Un grand film. Interview-rebond…

Entretien avec Bruno Dumont

Entre philo et ciné, transcendance et séduction, rencontre avec un « mystique non croyant », à l’occasion de la sortie d' »Hadewijch ».

Interview avec Bong Joon-ho

Revoici Bong Joon-ho, enfant prodigue du cinéma coréen depuis « Memories of murder » et « The host » qui, avec « Mother », est une fois encore dans le « contre-pied ». Interview…

L’autre Dumas

Bonne idée de départ, bonne direction d’acteurs… Et pourtant, la réalisation plate, scolaire, donne à cette belle aventure tragi-comique des allures de téléfilm superficiel, un peu ennuyeux.

La Robe du soir

Ce premier long métrage de fiction, signé par une documentariste réputée, aborde la pré-adolescence sur le terrain peu balisé de la solitude et du désir. Sobre, touchant, en dépit de quelques maladresses. Avec une Lio inattendue…

La Rafle

« La Rafle », c’est la reconstitution de la rafle du Vél’ d’hiv’, en juillet 1942 à Paris. Dommage, la réalisation du film, plate, sans enjeu, peut-être intimidée, n’est pas à la hauteur de la gravité du sujet.

La Révélation

Excellente surprise que ce thriller politique allemand, qui noue son intrigue, ses doutes et ses questions dans les labyrinthes du Tribunal pénal international de La Haye. Captivant.

Dans ses yeux

Méfions nous des apparences, semble dire ce film argentin aux allures hollywoodiennes (Oscar à la clé). En dépit d’une réalisation classique et d’un « happy end » convenu, la force de son histoire et la richesse de ses personnages laissent sans voix !

Mother

Moins spectaculaire que « The host », mais centré sur une relation mère/fils hors norme, « Mother » n’est pas un film raisonnable. A tout point vue. Une réussite, donc…

La Nana (La bonne)

Bonne surprise que ce « petit » film chilien, salué aux festivals de Sundance et de Paris ! Avec un vrai sens de la mise en scène, mêlant suspens et humour, il nous entraîne dans le sillage d’une femme inquiétante. Imprévisible jusqu’au bout.

Un soir au club

Pour son premier long métrage, Jean Achache s’attaque au livre jazzy, mélancolique et stylé de Christian Gailly, « Un soir au club ». Belle tentative, mais on est loin de la « blue note », néanmoins…

Rapt

En adaptant librement la véritable histoire du baron Empain, Lucas Belvaux livre un film dur et délicat à la fois. D´une maitrise impressionnante.

Treeless mountain

Ce « petit » film coréen sur une fratrie en mal de mère se place sous les auspices des meilleurs. Creusant, en outre, un sillon provincial et rural inhabituel.

Faust : retour critique

Avec Faust, Sokourov explore autant les origines du mal qu´il porte à incandescence ses hantises de plasticien. Résultat : un film charnel et sidérant, scandé comme un cauchemar.

La Tour des ambitieux

L’éclectique Robert Wise signe sur le monde de l’entreprise un film surprenant et visionnaire, qui se distingue notamment par son interprétation.

Le Décalogue (Dekalog, 1988)

Une oeuvre magistrale, série de dix téléfilms qui consacrèrent définitivement Krzysztof Kieslowski comme l’un des réalisateurs majeurs de la fin du XXe siècle.

Lettre d’une Inconnue

Ressortie sur les écrans d´un des plus beaux films de Max Ophüls, adaptation sensible et virtuose de la nouvelle de Stefan Zweig.

Le Criminel (The Stranger)

Virtuose, bancal, passionnant, « Le Criminel » d’Orson Welles est à (re-)découvrir absolument à l’occasion de sa ressortie en DVD et en salles le 22 août 2012.

Sieranevada

Au-delà de ses complaisances, ce huis-clos réalisé par un des fers de lance de la Nouvelle Vague roumaine brille par son ironie.

El Acompañante

Un film pudique, touchant mais un peu trop sage, sur deux destinées brisées dans le Cuba des années 1980.

Les Filles d’Avril

Sous ses apparences placides, un film puissant et vénéneux, signé du réalisateur de « Después de Lucia ».

Phantom Thread

Une rêverie mortifère et hypnotique, signée par un des plus brillants réalisateurs américains en exercice.

DVD « Barbara »

Désormais disponible en DVD, le dernier film de Christian Petzold se dévoile, au-delà de sa mise en scène faussement sage, comme une oeuvre à la fois délicate et hantée.

DVD et Blu-ray « The Master »

Un des films les plus marquants de ces derniers mois est désormais disponible en DVD et Blu-ray, dans une édition soignée, riche de quelques précieux suppléments.

La Loi du Marché

Un des pires avatars du cinéma « social » à la française – présomptueux, vain, mais emblématique.

Masaan

Un film limpide et poignant, qui nous parle avec acuité de l´Inde contemporaine.

Youth

Trois ans après « La Grande Bellezza » et sur un programme similaire, Sorrentino fait de nouveau étalage d’une éclatante maîtrise formelle. Mais ne renouvelle pas, loin de là, la réussite du précédent film.

The Master

Grand film comique et effrayant, « The Master » prend à rebours les attentes, éblouit par ses qualités plastiques, et s’affirme comme l’oeuvre la plus accomplie de son auteur.

Flight

Un film honnête et plutôt réussi, au-delà de ses gros sabots de fable moraliste.

Promised Land

Ce film autour d’une terre promise est-il à la hauteur de son beau titre ?

Post Tenebras Lux

Entre mysticisme et sensualité, un film osé, voire casse-gueule, mais plus ludique qu’il n’y paraît.

L’Inconnu du lac

Un captivant huis clos lacustre, qui brasse désirs et angoisses, sperme et sang, au sein d’un récit plus universel qu’il n’y paraît.

La Jalousie

Un film étriqué, qui suffoque comme ses personnages et exclut le spectateur de son dispositif.

Winter Sleep

Beau film hanté par ses maîtres, de Shakespeare à Bergman en passant par Tchekhov, mais pas tout à fait aussi hantant qu´il y aspire.

Le Juge

Limpide et émouvant, un film qui vaut d´abord pour ses prestations d’acteurs.

Les Femmes du bus 678

Brandissant la noble cause de la lutte contre le harcèlement sexuel dans l´Égypte contemporaine, « Les Femmes du bus 678 » souffre de son formatage et de son artificialité.

Annalisa

Au-delà de ses facilités, « Annalisa » parvient à distiller un certain trouble, mais aurait gagné à sortir davantage des sentiers battus.

For Ellen

Languissant, parfois poseur, ce drame intimiste vaut surtout pour ses interprètes.

Quelques heures de printemps

Malgré des comédiens habités, le dernier film de Stéphane Brizé s’englue dans une froideur compassée et prétentieuse.

N’aie pas peur

Sur un sujet aussi grave que délicat, Montxo Armendariz signe un film humble, pudique et poignant.

Sans fin (Bez Konca, 1985)

Le temps du désespoir.

Derniers jours à Jérusalem

Film crépusculaire parfois saisissant, « Derniers jours à Jérusalem » se coule dans un héritage bergmano-antonionien dont il peine à s´affranchir

Baccalauréat

Malgré sa mise en scène maîtrisée de bout en bout, le nouveau film de Cristian Mungiu débouche sur une impasse. Explications.

À jamais

Mystifier le vide.

Genre : Drame