Invasion
Nouvelle histoire de fantômes.
Read MoreOeuvre anthologique , « Voyage à Tokyo » est l’épitomé du cinéma ozuesque. Usant du ressort mélodramatique, Yasujiro Ozu inscrit dans cette dimension nostalgique du temps qui passe la lente altération des relations intergénérationnelles dans la famille nippone.
Read MoreRetour sur l’oeuvre d’Ozu, après le succès récent de sa rétrospective dans les salles françaises.
Read MoreEté 2020: le distributeur Carlotta ressort en salles l’intégrale des films couleurs remastérisés du maître japonais porté à l’introspection des états d’âmes familiaux. Sont projetés : Dernier Caprice, Bonjour, Le Goût du Saké, Fin d’Automne, Herbes flottantes & Fleurs d’équinoxe. Focus
Read MoreRessortie d’un des films les plus vibrants et engagés de Kenji Mizoguchi.
Read More« Higanbana » signifie, en japonais, Amaryllis, fleur qui éclot généralement à l’équinoxe d’automne. Elle donne son nom au premier film en couleur d’Ozu, et l’imprègne immédiatement d’un ton mélancolique qui le caractérisera jusqu’à ses derniers instants.
Read MoreLe dernier film de Yasujiro Ozu.
Read MoreUn film placé sous le signe de l’amour et du mariage.
Read MoreOzu, cinéaste du Temps.
Read MoreY a-t-il un “mystère Ozu”?
Read MoreUn film d’une grande finesse sur un Japon en plein bouleversement
Read MoreAu XVIIeme siècle, dans un temple rempli de statues du Bhoudha dont l’une lui rapelle les traits de son premier amant, Oharu, vieille prostituée encore en activité, se remémore sa vie.
Read MoreLes Amants crucifiés est un mélodrame absolu dans lequel Mizoguchi semble nous crier le droit à la passion amoureuse…
Read MoreImamura déploie le malaise et l’ambiguïté tout en inaugurant un imaginaire du cinéma érotique japonais.
Read MoreRessortie en salles de ce bijou de l’un des grands maîtres du cinéma japonais.
Read MoreUn parfait exemple de la « touche Ozu ».
Read More« Cinq femmes autour d’Utamaro » est une oeuvre composite qui porte en germe les sortilèges captieux des chefs d’oeuvre à venir de Kenji Mizoguchi. A travers le double qu’il s’est forgé en la figure du peintre d’estampes,le cinéaste interroge son statut d’artiste. Version restaurée 2K.
Read MoreChronique douce-amère, « Un Merveilleux dimanche » oscille entre comédie légère et drame des gens ordinaires dans l’atmosphère asphyxiante du Tokyo dévasté de l’immédiat après-guerre. Un shomin-geki inédit dans la production kurosawienne.
Read MoreDans « le Destin de Madame Yuki », Kenji Mizoguchi ébauche le portrait évanescent d’une de ses égéries consumée par la passion destructrice qui la domine et dans laquelle elle s’abîmera corps et âme. Ensorcelant.
Read MorePremière oeuvre d’auteur d’Akira Kurosawa, « L’Ange ivre » est un film réquisitoire qui, sans éviter un certain manichéisme, voudrait éradiquer par la racine le mal d’une société japonaise défaite ; corrompue par son américanisation rampante.
Read More« Une femme dont on parle » est un petit bijou de splendeur formelle. Chantre de la femme opprimée, Mizoguchi s’insinue dans l’intimité de ces excommuniées que sont les geishas modernes ; accablées de plaisirs mais sevrées d’amour. En version restaurée.
Read MoreLe traumatisme de l’apocalypse nucléaire dans le cinéma d’Akira Kurosawa.
Read MoreMacbeth revisité dans une fantasmagorie hallucinée.
Read MoreVivre dans l’obsession de la folie meurtrière.
Read MoreAprès avoir exposé l’histoire, nous analyserons la partie la plus évidente du film, celle qui concerne les deux couples mis en scène. La dernière partie de l’étude sera probablement un peu plus complexe. Nous nous permettrons de raccourcir le titre du film en le nommant Les Contes de la lune.
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