Billy Wilder Archives - Il était une fois le cinéma

ARIANE

Le petit bijou de Wilder lové dans un bel écrin signé Carlotta.

Billy Wilder

Il était temps de nous consacrer au plus complet des réalisateurs de l´âge d´or hollywoodien.

La Vie privée de Sherlock Holmes (The Private Life of Sherlock Holmes, 1970)

Amputé de près de la moitié de ses scènes, mélancolique, « La Vie privée de Sherlock Holmes » reste le film le plus touchant de Billy Wilder, sa grande « oeuvre malade ».

Le Gouffre aux chimères (Ace in the Hole, 1950)

Visionnaire et virulent, le plus marquant des films de la veine sombre de Wilder ressort en salles.

Certains l’aiment chaud

Pègre aux trousses, Tony Curtis et Jack Lemmon se cachent sous des perruques de femmes

Assurance sur la mort – Coffret DVD Carlotta Films

<< I killed him for money, and for a woman. I didn't get the money, and I didn't get the woman >> : le film noir dans toute son épure, surtout lorsque l’on sait que << him >> est le mari de la femme en question…

Stalag 17 (Billy Wilder, 1953)

Le grand oublié de la filmographie de Billy Wilder ressort en salles.

Boulevard du crépuscule

Hésitant entre hommage vibrant rendu à la période du muet et constat acide sur la cruauté du système hollywoodien, Wilder finit par choisir l´émotion.

Boulevard du crépuscule (Billy Wilder, 1950)

Ressortie en salles de l’indémodable chef-d´oeuvre de Billy Wilder, hommage vibrant rendu à la période du muet en même temps que méta-film acide sur la cruauté du système hollywoodien.

Assurance sur la mort (Double Indemnity – Billy Wilder, 1944)

<< Oui je l´ai tué. Je l´ai tué pour le fric et pour une femme. Je n´ai pas eu le fric et je n´ai pas eu la femme. C´est réussi non ? >>

Un, deux, trois

<< -L´hôtel Potemkine, vous connaissez ? -Oui. Avant il s´appelait l´hôtel Goering, et encore avant l´hôtel Bismarck. >> Farce trépidante dans le Berlin de l’été 1961, le film de Billy Wilder ressort en salles.

Ariane

« Jeunes femmes et vieux messieurs – Si elles sont fauchées quelle importance – Du pognon ils en ont pour deux. » Cette citation de Serge Gainsbourg n’aurait pas lieu d’être ici, car dans Ariane, il s’agit d’amour. Le vrai. Le pur. Celui qui ne s’attarde pas sur une simple différence d’âge.