Epouvante Archives - Il était une fois le cinéma

La chute de la maison Usher/ La malédiction d’Arkham/ La tombe de Ligeia. Sorties Blu-Ray chez Sidonis Calysta

Roger Corman dans trois de ses adaptations très inspirées D’Edgard Allan Poe.

Incubus. Sortie Blu-ray chez Rimini Editions.

Une succession de meurtres et de viols sème la terreur dans une petite ville : une spirale d’épouvante rondement menée.

Terrifier 2. Combo Blu-Ray UHD 4K + Blu-ray chez ESC.

Moins glauque mais plus sadique que dans le premier opus, Art le clown redouble toujours d’imagination pour tout déchiqueter sur son passage.

Vincent Doit Mourir

De « l’urban fantasy » à la « provincial fantasy » : La politique de la violence, de son inévitabilité, de la fuite et de sa nécessité.

Halloween est aux portes. L’occasion de redécouvrir deux contes ténébreux à la tonalité subversive entre horreur, épouvante et noir érotique. Usant d’une palette graphique magistrale, le cinéaste engagé Kaneto Shindo y dépeint un microcosme humain sans pitié où les protagonistes sont à deux doigts d’être des cannibales ou des vampires. L’horreur amorale de la guerre et celle d’un trafic sans entraves se combinent dans la vision cauchemardesque d’un bestiaire humain. Analyse…

Killer Coaster (sortie sur PRIME VIDEO)

Après « Derby Girl », Nikola Lange fait équipe avec la famille Lamy et offre d’inventer l’horreur héraultaise.

Cinq Vampires de la Hammer

Les maîtresses de Dracula, Le baiser du Vampire, Comtesse Dracula, Les sévices de Dracula, Le cirque des vampires, 5 plaisirs de chair et de sang. (Proposés par Elephant Films dans son coffret « Les 13 cauchemars de la Hammer »)

Sweet Sixteen (DVD/BLU-RAY CHEZ RIMINI)

Certains sont nostalgiques de leurs années lycée. D’autres meurent avant d’avoir cette chance.

Nope

Sortie DVD/ BLU-RAY d’un des films qui aura fait le plus parler de lui en 2022.

X

Tournage d’un porno crade qui vire au gore dans les années 80…

Sermons de minuit

Messe sanglante.

Possessor

Être soi.

His House

Les murs qui nous séparent de l’au-delà.

The haunting of Bly Manor

D’où viennent nos fantômes ?

L’Invasion des profanateurs de sépultures

« Ce qu’ils n’ont pas compris, c’est que le film parlait d’eux : ils n’étaient rien d’autre que des légumes vivants ! »

Démons

Le masque du démon

Koko-di koko-da

Cette comptine conduit inexorablement au cauchemar et à la tragédie.

Ça : Chapitre 2

Long. Très long. Très très long. Et pas bon.

La Maison de la mort

« The Old Dark House » est un film d’épouvante qui démythifie avec bonheur les codes d’ordinaire attachés à une veine réputée intarissable. Cette comédie des manières teintée d’un humour noir « so british » vient pimenter un canevas de « maison hantée » qui grince de toutes parts. Subversivement détonnant dans le panthéon des classiques du genre. En version restaurée 4K ce 25 septembre.

Crawl

Divertissant sans casser trois pattes à un alligator.

Child’s Play : La poupée du mal

« Ok Chucky… »

The dead don’t die

Ouverture du festival de Cannes 2019, Jim Jarmusch surprend tout le monde avec un film de zombie type des années 80, à la limite entre navet et génie.

Us

Ballet de doubles.

Suspiria

Après le « Suspiria » baroque de Dario Argento, le remake maniériste de Luca Guadagnino.

Invasion

Nouvelle histoire de fantômes.

It Follows

Belle réussite de cinéma de genre, à la fois sensorielle et d´une richesse théorique inattendue.

Sinister

Le réalisateur de « L´Exorcisme d´Emily Rose » mêle snuff movie et surnaturel dans un film d´horreur honnête et flippant.

Tucker et Dale fightent le mal

Parodie attachante et respectueuse du genre horrifique, le premier long-métrage du réalisateur Eli Craig tendrait à prouver que les rednecks ne sont pas tous des tueurs en série. Moralité : l’habit ne fait pas le péquenaud.

Les Dents de la mer

Véritable triomphe au box office mondial, « Les Dents de la mer » vaut surtout aujourd’hui par la manière dont s’insinuait la naissance d’un bel instinct de cinéaste, dont se laissait présager un appétit de cinéma sans mesure.

The Visit

Retour aux sources pour M. Night Shyamalan, à moitié réussi.

Insidious

Une famille, une maison, des fantômes : pour son quatrième film, James Wan joue avec les codes d´un genre séculaire pour flanquer une pétoche pas possible à une génération blindée contre la peur. Un coup de maître.

Solitaire (Rogue)

Dans des paysages australiens beaux à en devenir fou, une troupe de touristes affronte un crocodile vorace et effrayant. Un pitch connu, et pourtant, « Solitaire » parvient à prouver sa singularité avec assurance. LA série B de l´été.

Diary of The Dead – Chroniques des Mots-Vivants (Diary of the Dead)

Quarante ans après avoir révolutionné le film d´horreur avec « La Nuit des Morts-Vivants », George A. Romero semble ne rien avoir perdu de son talent ni de sa verve.

The Last Girl – Celle qui a tous les dons

Et si les zombies, au lieu d´apporter ruines et désolation, représentaient l´avenir d´une nouvelle humanité ?

Annabelle

Une vraie horreur.

Dark Touch

Carrie avait une petite soeur…

Berberian Sound Studio

Oscillant entre documentaire et film à suspense, « Berberian Sound Studio » explore les dessous sonores du cinéma d’horreur en pratiquant l’expertise d’un studio d’enregistrement italien.

Retour sur My Soul to Take

Retour sur une oeuvre mésestimée.

My Soul to Take

Avec « My Soul to Take », Wes Craven assure habilement le service minimum.

Les Sorcières de Zugarramurdi

Que faire après « Balada Triste » ? Alex de la Iglesia se regroupe en revenant à la comédie latine, méchante, et branchée sur des voltages qui feraient griller les transfos de nos caméras nationales. Histoire de remettre les compteurs au-dessus de 9000.

Ghostland

Pour qui suit la trajectoire de Pascal Laugier, Ghostland est surprenant car en rupture avec une évolution thématique jusque là constante. C’est un shocker excellent, pervers et rigoureux mais sans le supplément rhétorique qu’on avait appris à attendre du cinéaste.

Piranha 3D

Assumant pleinement son statut de « plaisir coupable », voire de « Gremlins pour adultes » selon ses auteurs, ce nouveau « Piranha » ne se prend jamais pour un chef-d’oeuvre, et c’est précisément ce qui le rend aussi sympathique. Très gore, très cul et – faussement – très con : on aurait en effet tort de bouder son plaisir.

Genre : Epouvante