• La Forteresse noire (nouvelle sortie en version 4K par Carlotta dans les salles le 14/05)

  • Carlo Lizzani : un cinéaste de conviction à réhabiliter

  • Trois plongées dans l’univers d’Alan Rudolph, peintre des illusions au style sophistiqué et vaporeux.

  • Le pianiste, chef-d’œuvre absolu de Roman Polanski.

  • 10 films d'Hitchcock restaurés de ses débuts ou la quintessence d'un style naissant

  1. 1
  2. 2
  3. 3
  4. 4
  5. 5

SORTIES

SORTIES

La Chambre de Mariana

La Chambre de Mariana

Une prostituée cache le jeune fils d’une amie juive dans sa chambre, dans une maison close en Ukraine occupée par les Allemands (entre 1942 et 1944). Le jeune garçon va devoir surmonter son désespoir, en se réfugiant d’abord dans ses souvenirs, puis en s’attachant à sa protectrice, qui ne se sauvera pas au départ des Allemands remplacés par les Soviétiques. Mais elle lui aura donné son amour.

La Chambre de Mariana

Une prostituée cache le jeune fils d’une amie juive dans sa chambre, dans une maison close en Ukraine occupée par les Allemands (entre 1942 et 1944). Le jeune garçon va devoir surmonter son désespoir, en se réfugiant d’abord dans ses souvenirs, puis en s’attachant à sa protectrice, qui ne se sauvera pas au départ des Allemands remplacés par les Soviétiques. Mais elle lui aura donné son amour.

COIN DU CINÉPHILE

COIN DU CINÉPHILE

Le cinéma allemand contemporain

Le cinéma allemand contemporain

Le cinéma allemand contemporain n’a pas forcément bonne presse : outre le manque d’intérêt d’une critique cinématographique française peu tournée vers ce qui se passe outre-Rhin vient s’ajouter un a priori sur la supposée lourdeur des productions germaniques. Ce texte voudrait montrer au contraire l’intérêt qu’il y a à revoir – ou plutôt voir – certaines réalisations allemandes récentes : celles d’un cinéma qui ne se limite pas aux opus de Fatih Akin (Head-on, De l’autre côté), de Christian Petzold (Barbara, Phoenix, Ondine) ou aux performances multi-primées de Sandra Hüller (Toni Erdmann, Anatomie d’une chute, La Zone d’intérêt) ; celles qui ne se contentent pas de ressasser « un passé qui ne passe pas » (selon la formule à propos de Vichy d’Henry Rousso et Éric Conan) : l’accablant passé du nazisme et du IIIe Reich ou celui de la Stasi et de l’ex-RDA.

On évoquera ici quatre films : Oh Boy de Jan-Ole Gerster (2012) ; Je suis ton homme (Ich bin dein Mensch) de Maria Schrader (2021) ; La Salle des professeurs (Das Lehrerzimmer) d’Ilker Çatak (2023) ; La Belle Affaire (Zwei zu eins) de Natja Brunckhorst (2024).

Précédentes Thémas

Abel Gance ou l’exacerbation des passions sur l’écran “large” du cinématographe
Abel Gance ou l’exacerbation des passions sur l’écran “large” du cinématographe

C’est en étroite coordination avec le CNC, le centre national du cinéma et de l’image animée, que la Cinémathèque Française a pu concevoir, réaliser et recréer en septembre dernier les conditions d’une rétrospective foisonnante dédiée à l’oeuvre superlative, tant grandiose, monumentale, majestueuse que solennelle et grave d’Abel Gance. Temps forts.

Michelangelo Antonioni
Michelangelo Antonioni

A l’aune de la récente rétrospective Michelangelo Antonioni à la cinémathèque française, il nous a été permis de revoir la quasi intégralité de l’œuvre filmique du cinéaste de l’aliénation et de la névrose qui s’affranchit du néo-réalisme avant ses oeuvres de la maturité. Panorama et recension critique d’Alain-Michel Jourdat.

Rétrospective Ozu
Rétrospective Ozu

Humanisme profond des gens ordinaires et déstabilisation du vieux monde avec Yasujiro Ozu.

Universal Monsters
Universal Monsters

Un panorama de quelques passionnants films mettant en scène les « Universal Monsters », à l’occasion de l’édition de la « Collection Cinéma Monster Club » chez Elephant Films.