Mathieu Alloin, auteur sur Il était une fois le cinéma

Retour sur le Festival Lumière 2013

Tarantino, Ashby, Bergman et les autres.

Quand la ville dort (The Asphalt Jungle, 1950)

Rêver un impossible rêve.

Marie-Octobre (Julien Duvivier, 1958)

Neuf hommes en colère.

Loulou (1980)

L’amour à corps perdu.

Les Amours d’une blonde (Lásky Jedné Plavovlásky, 1965)

Fin de bal pour la jeunesse tchèque.

Le monde de l’entreprise

L´entreprise : territoire de luttes et de résignations.

Jean-Marie Straub : Et pourtant, il tourne (toujours)

En toute discrétion, le cinéaste continue de questionner le cinéma, tout autant que ses spectateurs. Retour sur deux courts métrages sortis en 2013.

Sweetie (1989)

Magnifier le bizarre.

Wild Boys of the Road (William A. Wellman, 1933)

Des corps en vie dans une Amérique qui se meure.

La Vie et rien d’autre (1989)

Un regard neuf sur la Grande Guerre et ses traumatismes.

Scarface (Brian De Palma, 1983)

Tony, en plein rêve.

Film d’amour et d’anarchie

Rome, ville déserte. Un paysan italien part à l´assaut de la froideur de la capitale italienne et de son chef : Benito Mussolini.

Un si doux visage (Angel Face – Otto Preminger, 1952)

Otto Preminger dans ce qu’il fait le mieux : réfléchir sur le cheminement psychologique de ses personnages.

Le Retour (Homecoming – Mervyn LeRoy, 1948)

L’amour à la guerre.

Adaptation (Spike Jonze, 2002)

Kaufman par Kaufman.

Stalag 17 (Billy Wilder, 1953)

Le grand oublié de la filmographie de Billy Wilder ressort en salles.

Héros d’occasion (Hail the Conquering Hero, 1944)

À travers le parcours d´un homme catapulté héros de guerre, Preston Struges interroge les mécanismes de la célébrité au sein d´une petite communauté.

Bob le flambeur (1955)

Melville évoque le monde du jeu et de la pègre dans un véritable hymne au passé.

Selon Matthieu (Xavier Beauvois, 2000)

Xavier Beauvois et la lutte des classes.

César et Rosalie

Deux hommes, une femme : l’amour et ses contrariétés.

Sous les toits de Paris (1930)

Une première incursion très singulière de René Clair dans le cinéma parlant.

Le Jour où la Terre s’arrêta (The Day the Earth Stood Still – Robert Wise, 1951)

La fable pacifiste de Robert Wise.

Une incroyable histoire (The Window – Ted Tetzlaff, 1949)

L´enfant qui criait au loup, transposé dans un univers d´une noirceur et d´une cruauté totales.

Le Mauvais chemin (La Viaccia, 1961)

Bolognini met en scène le déchirement familial et amoureux dans la ville de Florence à la fin du XIXe siècle.

Tout ce que le ciel permet (All that Heaven Allows – Douglas Sirk, 1955)

A l’occasion de la ressortie en salle, redécouvrez dans ce film la chaleur d´un amour condamné.

La Baronne de minuit (Midnight – Mitchell Leisen, 1939)

Sous les traits d´une comédie savamment écrite et mise en scène, Mitchell Leisen se livre à une réjouissante satire des moeurs parisiennes des années 1930.

Les Enfants terribles (1950)

Melville donne vie aux « Enfants terribles » de Jean Cocteau et affirme déjà un style cinématographique personnel.

Ed Wood

Tim Burton rend hommage au << plus mauvais cinéaste de l'histoire du cinéma >>.

Gallipoli (1981)

Une aventure de jeunesse, sacrifiée…

Stand by me (Rob Reiner, 1986)

Belle adaptation de Stephen King.

L’Homme sans frontière (The Hired Hand – Peter Fonda, 1971)

Peter Fonda réalise un western raffiné, à l’atmosphère poétique et onirique.

La Porte du paradis

Trente ans de la vie d´un homme et une Amérique déchirée. Le classique de Michael Cimino ressort en salles.

Chronique d’un été (Edgar Morin et Jean Rouch, 1961)

Jean Rouch et Edgar Morin usent de cette expérience cinématographique pour dénoncer, de manière très précoce, les violences perpétrées en Algérie.

Wake in Fright

Retour à l’état primaire.

Auteur : Mathieu Alloin