
Jacques Becker
Article écrit par Justin Kwedi
Jacques Becker, l’art de la rigueur et du romanesque.
Article écrit par Justin Kwedi
Jacques Becker, l’art de la rigueur et du romanesque.
Retour sur l’oeuvre de Woody Allen, dans laquelle la ville de New York tient une place centrale.
Prototype matriciel du «noir procédural», «La cité sans voiles» fraye la voie vers un courant néo-réaliste semi-documentaire issu de l’immédiat après-guerre. Drapée sous une chape nocturne, la métropole new-yorkaise bruisse de mille faits divers crapuleux. Le jour venu, à l’été 1947, la brigade des homicides dont le bureau est la rue, bat le pavé brûlant des artères populeuses pour les élucider.
Plongée dans la haute société new-yorkaise d’un roman d’Edith Wharton.
Ou comment, en voulant nettoyer « l’égout à ciel ouvert » qu’est New York, on passe du super-héros au fasciste.
Les (més)aventures des immigrants américains à hauteur d’un souriceau candide.
Très dissociables par leur enveloppe : comédie-dramatique de remariage pour « Peggy Sue s’est mariée », drame de guerre pour « Jardins de Pierre », ces deux oeuvres de Francis Ford Coppola de la fin des années quatre-vingt se rejoignent intimement.