1951 Archives - Il était une fois le cinéma

Bellissima

Le chef d’oeuvre du néoréalisme à la Visconti !

Cinq films de la saga de l’Homme Invisible disponibles chez Elephant.

Tout l’art d’Universal pour donner corps au personnage né de la plume d’ H.G Wells.

« Miss O-Yû » est un mélo sublime mais improbable où la relation amoureuse est suspendue à un code marital d’airain d’une autre époque. Son personnage éponyme est une créature onirique, désincarnée, une femme-fantôme vénéneuse et à la fatalité destructrice comme une sorcière jetant ses sortilèges. Mizoguchi recrée l’Eurydice du mythe d’Orphée. Suavement ensorcelant en version restaurée.

Le Journal d’un curé de campagne

Chronique au quotidien de l’examen de conscience d’un jeune vicaire de paroisse accablé par le poids de son sacerdoce et rongé par un cancer incurable, « le Journal d’un curé de campagne » ressort sur les écrans dans une version restaurée. L’occasion de réexaminer ce chef d’oeuvre qui confine au surnaturel et au miraculeux.

Une place au soleil (A Place in the Sun – George Stevens, 1951)

Le rêve américain, à n’importe quel prix.

Le Choc des mondes (When Worlds Collide – Rudolph Maté, 1951)

Naïf et précurseur, un impressionnant spectacle de fin du monde.

Le Gouffre aux chimères (Ace in the Hole, 1950)

Visionnaire et virulent, le plus marquant des films de la veine sombre de Wilder ressort en salles.

Mademoiselle Julie (Alf Sjöberg, 1951)

Ressortie en salles de l´adaptation suédoise de la pièce d´August Strinberg sous influence américaine.

Edouard et Caroline (1951)

Critique sociale, champagne et couple qui se rabiboche.

Eté précoce

Un film d’une grande finesse sur un Japon en plein bouleversement

Le Repas (Meshi)

Le film s’ouvre sur le plan d’une ruelle d’Osaka qu’une voix de femme nous situe. Paisible chemin de terre coincé entre deux rangées de maisons. Un enfant sort en trottinant, sac au dos, suivi de sa mère qui lui demande de ne...

Le Jour où la Terre s’arrêta (The Day the Earth Stood Still – Robert Wise, 1951)

La fable pacifiste de Robert Wise.

La Poison (1951)

Couple de braconniers.

Une place au soleil

Entre une vie minable et un embourgeoisement facile, George Eastman tente d’atteindre son rêve américain. George Stevens s’accorde à montrer que cette idylle ne mérite pas tous les sacrifices.