Fair Game
Article écrit par Caroline Santoyo

Unique représentant du cinéma américain lors de la dernière sélection officielle du Festival de Cannes, « Fair Game » débarque ce mercredi avec ses gros sabots. Raté et peu recommandable.
Article écrit par Caroline Santoyo
Unique représentant du cinéma américain lors de la dernière sélection officielle du Festival de Cannes, « Fair Game » débarque ce mercredi avec ses gros sabots. Raté et peu recommandable.
C’est toute une mémoire collective du peuple algérien que retrace l’odyssée mouvementée du paysan Ahmed, héros mythique d’une épopée visionnaire. Evoquées dans un scope 70 mm en Panavision éblouissant de lumière crue, ces années de braise sont le ferment d’une révolution qui embrase sourdement une population sacrifiée par la colonisation française. La fresque homérique oscille entre une conscience nationaliste aigüe et un lyrisme de tragédie grecque où le réalisateur Mohammed Lahkdar-Hamina se mue en oracle histrionique, voix prophétique et guide spirituel d’un peuple en quête d’émancipation. Analyse…
Haute-voltige branchée sur 100 000 volts. Le tandem Tsui Hark Jet Li pour deux concentrés de pur divertissement.
Au milieu de nulle part, des « braves gens » sous la menace d’un duo de braqueurs sans vergogne. Même si les ingrédients dégagent un parfum de déjà vu, la recette de ce film noir et amère ne manque pas d’épices.
Recadrer l’intime
Violence, corruption, trahison, les règles du milieu volent en éclat. La quintessence du Poliziottesco signée par son artificier en chef : Fernando Di Leo.
Dans de belles couleurs froides, Keff tisse un portrait en demi-teintes du Taïwan moderne.