Bonne lecture avant un prochain Coin du Cinéphile consacré au cinéma espagnol sous le franquisme.
Shohei Imamura
Article écrit par Justin Kwedi
Le poète et anthropologue du cinéma japonais.
Article écrit par Justin Kwedi
Le poète et anthropologue du cinéma japonais.
Bonne lecture avant un prochain Coin du Cinéphile consacré au cinéma espagnol sous le franquisme.
Le Festival qui lutte contre toutes les formes de discrimination aura lieu au Luminor,Paris 4eme, du 31 janvier au 2 février. Invitée d’honneur Céline Sallette.
Vies scolaires et solaires.
En incendiant la pagode dorée de Kyoto, relique architecturale, un jeune bonze expérimente une catharsis intérieure et la purgation des traumatismes qu’il a vécus jusqu’alors. Adaptant librement le roman de Yukio Mishima dans un scope noir et blanc éclairant le côté sombre du personnage, Kon Ichikawa suit l’itinéraire d’apprentissage torturant qui a conduit son antihéros à commettre l’irréparable.
Avec « La classe ouvrière va au paradis », Elio Petri livre un pamphlet kafkaïen sur l’effondrement des utopies du changement au sein de la mouvance ouvrière. Le panorama est sombre à une époque où l’on pouvait encore croire dans la possibilité d’un compromis politique et idéologique entre le prolétariat et les étudiants extrémistes militants en tant que ferment révolutionnaire. A l’aube des années 70, le cinéaste force à dessein le trait d’une aliénation au travail confrontée aux normes de productivité. Analyse…
Fidèle adaptation du roman de Sorj Chalandon, ce film frappe au coeur.
1984 +100