

Chantons sous la pluie
Article écrit par Matthias Turcaud
« You’ve seen one, you’ve seen them all. »

Article écrit par Matthias Turcaud
« You’ve seen one, you’ve seen them all. »
Une comédie romantique drôle, enlevée, vivifiante. Un cocktail a savouré sans modération.
Ce film d’Alan J. Pakula (1974), deux années avant son grand succès Les Hommes du président (1976), reflète les doutes d’une partie contestataire de la société américaine sur l’intégrité du système, après de nombreux et mystérieux assassinats politiques (Kennedy et son frère Bob, Martin Luther King), et ses craintes d’un complot ou de manipulations contre la démocratie. D’où un thriller politique volontiers paranoïaque.
Deux flics que tout oppose au cœur de la lutte antigang pour redonner des couleurs à la cité des Anges.
C’est toute une mémoire collective du peuple algérien que retrace l’odyssée mouvementée du paysan Ahmed, héros mythique d’une épopée visionnaire. Evoquées dans un scope 70 mm en Panavision éblouissant de lumière crue, ces années de braise sont le ferment d’une révolution qui embrase sourdement une population sacrifiée par la colonisation française. La fresque homérique oscille entre une conscience nationaliste aigüe et un lyrisme de tragédie grecque où le réalisateur Mohammed Lahkdar-Hamina se mue en oracle histrionique, voix prophétique et guide spirituel d’un peuple en quête d’émancipation. Analyse…
Haute-voltige branchée sur 100 000 volts. Le tandem Tsui Hark Jet Li pour deux concentrés de pur divertissement.
Au milieu de nulle part, des « braves gens » sous la menace d’un duo de braqueurs sans vergogne. Même si les ingrédients dégagent un parfum de déjà vu, la recette de ce film noir et amère ne manque pas d’épices.