“La mère” est un mélo qui tient jusqu’au bout la gageure de ne pas verser dans le larmoyant par les notations drolatiques qui émaillent ses épisodes agencés comme autant de “haikus”, ces poèmes insignifiants à la forme brève. Mikio Naruse rejoint Yasujiro Ozu dans la sobriété d’un récit édifiant. Emouvant en version restaurée.
Read MoreUn temps pour vivre, un temps pour mourir. Tel est l’adage élémentaire du cinéma selon Mikio Naruse, réalisateur japonais dont la filmographie prolifique (80 films de 1930 à 1969) enveloppa les pellicules du studio Toho de leur...
Read MoreLe nom de Mikio Naruse a une bien faible résonance dans nos pays. Il fait partie de ces générations de cinéastes des deux « Ages d’or du cinéma japonais », mais a grandi à l’ombre des Ozu, Mizoguchi et autres Kurosawa. Gageons...
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Au XVIIeme siècle, dans un temple rempli de statues du Bhoudha dont l’une lui rapelle les traits de son premier amant, Oharu, vieille prostituée encore en activité, se remémore sa vie.
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Les Sept samouraïs est incontestablement le film le plus connu d’Akira Kurosawa, succès commercial...
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Inédit jusqu’à aujourd’hui, « Quand une femme monte l’escalier » (en version originale : « Onna ga kaidan wo agaru toki »), chef-d´oeuvre de Mikio Naruse, est désormais en salles.
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