Trois joyaux de Max Ophüls

Le cinéma incandescent de Max Ophüls traduit la perte nostalgique d’un monde finissant selon un romantisme exacerbé où tout commence en chansons et par des valses d’Offenbach ou de Strauss et se termine sur une note tragique. La preuve par trois films : « Sans lendemain » (1939), « Madame de… »1953) et « Le Plaisir » (1952).

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